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112 Greene Street, The Kitchen, Artists Space, The Clocktower, P.S.1, Franklin Furnace, ou Fashion Moda : ces lieux nés durant la décennie 1970, et parfois toujours en activité, ont laissé une empreinte durable sur la scène artistique new-yorkaise. « Espaces alternatifs », d'abord installés dans ces quartiers industriels du sud de Manhattan qui deviendront SoHo et(...)
Une histoire des espaces alternatifs à New York: de SoHo au South Bronx,1969-1985
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112 Greene Street, The Kitchen, Artists Space, The Clocktower, P.S.1, Franklin Furnace, ou Fashion Moda : ces lieux nés durant la décennie 1970, et parfois toujours en activité, ont laissé une empreinte durable sur la scène artistique new-yorkaise. « Espaces alternatifs », d'abord installés dans ces quartiers industriels du sud de Manhattan qui deviendront SoHo et TriBeCa, puis dans l'East Village, le Queens, Brooklyn, ou encore le sud du Bronx, ces lieux d'exposition, de création et de sociabilité établis en marge des institutions muséales et des galeries commerciales ont favorisé l'épanouissement de nouvelles pratiques : art processuel, danse postmoderne, art vidéo, performance. C'est une enquête historique et un parcours géographique que propose l'ouvrage, mettant en lumière l'articulation entre ces pratiques et les phénomènes institutionnels, sociaux, économiques et urbains dont elles ne peuvent être dissociées. Si les installations dans les espaces bruts du 112 Greene Street ou l'exposition inaugurale de P.S.1 révèlent un engouement pour le matériau urbain, c'est aussi la place des artistes dans la ville de New York qui est alors constamment interrogée, depuis la légalisation des premiers lofts jusqu'aux critiques virulentes de la gentrification qui émanent de la communauté artistique elle-même. Alors qu'au début des années 1970 ces lieux alternatifs profitent d'un contexte économique favorable et du soutien d'une nouvelle politique culturelle fédérale et locale, le milieu des années 1980 sonne le glas d'un mouvement. « The Fun is gone » arbore la Fun Gallery à sa fermeture dans l'East Village en 1985. La scène alternative s'essouffle sous la présidence Reagan, non sans avoir nourri sa propre histoire et contribué à la constitution d'une mythologie et d'un héritage dont l'ambivalence persiste aujourd'hui.
Art Theory
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Depuis plusieurs années, il ne se passe guère de mois sans qu’un étudiant ou une étudiante ne vienne à la Fabrique pour nous poser des questions sur l’édition indépendante, « engagée » comme ils disent. Ils sont en fin de licence ou en maîtrise, souvent dans la filière « métiers du livre » ou bien en science politique ou en histoire. Le projet de ce livre, c’est d’elles(...)
Pour aboutir à un livre : la fabrique d’une maison d’édition
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Depuis plusieurs années, il ne se passe guère de mois sans qu’un étudiant ou une étudiante ne vienne à la Fabrique pour nous poser des questions sur l’édition indépendante, « engagée » comme ils disent. Ils sont en fin de licence ou en maîtrise, souvent dans la filière « métiers du livre » ou bien en science politique ou en histoire. Le projet de ce livre, c’est d’elles et eux qu’il vient, de leur intérêt, leur questionnement et leurs doutes.– Comment fonder une maison d’édition à partir de rien – combien d’argent faut-il, dans quel local, avec quel imprimeur, quel banquier, quel distributeur ?– Ensuite, comment s’y prendre pour ébaucher un catalogue, pour le développer, quelle relation avec quels auteurs, quel travail sur les textes ?– Sans négliger les questions matérielles : établir le budget des livres, tenir un plan de trésorerie, un budget annuel… L’éditeur doit marcher sur ses deux jambes, mener de front la partie intellectuelle et la partie matérielle du métier, qui se complètent et se renforcent mutuellement.– Les livres une fois imprimés, il faut les faire connaître – à la fois aux médias, aux libraires, dont le soutien est décisif, et pour finir aux lecteurs, en utilisant les moyens les plus traditionnels (contact direct et par les représentants) et les autres (site internet, newsletters, etc.). Et puis il faut les vendre ! Ce livre est mené sous forme d’un dialogue avec Ernest Moret, étudiant en philosophie qui connaît bien la Fabrique où il a été stagiaire. Cette forme a permis de mêler des notions d’ordre général et des idées et des anecdotes tirées de l’expérience personnelle d’Eric Hazan, dans l’édition d’art puis à la Fabrique. Sans compter les suggestions et critiques issues de l’équipe même de la Fabrique – car ce qui ressort clairement de ce livre, c’est que l’édition est avant tout un travail collectif.
Archive, library and the digital
Soleil of Persian Square
$68.00
(available in store)
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« Soleil of Persian Square »' est une recherche sur l’identité visuelle du style de vie de la diaspora iranienne à Los Angeles. Elle tente de donner un visage à cette ville fictionnelle qui a pour nom Tehrangeles, et que Hannah Darabi a découverte à travers des images associées à la musique populaire dans ses années d’adolescence. Il s’agit ici de tisser des liens entre(...)
Soleil of Persian Square
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« Soleil of Persian Square »' est une recherche sur l’identité visuelle du style de vie de la diaspora iranienne à Los Angeles. Elle tente de donner un visage à cette ville fictionnelle qui a pour nom Tehrangeles, et que Hannah Darabi a découverte à travers des images associées à la musique populaire dans ses années d’adolescence. Il s’agit ici de tisser des liens entre des paysages ordinaires de Los Angeles et d’Orange County — comme porteurs de traces de cette diaspora iranienne —, des portraits de ses habitants, et des objets issus de la culture populaire, tels que des pochettes de cassettes, des paroles de chansons, des captures d’écran de clips musicaux des années 1980 et 1990, ou encore des pages d’annuaires consacrés aux activités de cette diaspora. « Soleil of Persian Square » ne désigne en effet pas seulement un voyage de l’espace réel à celui de l’imaginaire, mais aussi un mode de vie et une façon de penser incarnés dans la culture populaire. Cette culture, qui se positionne aujourd’hui en opposition avec les valeurs morales du régime iranien actuel, et que les intellectuels laïques critiquent par ailleurs pour son côté « low art », a pourtant survécu, notamment à travers la musique pop de Tehrangeles. Cette musique que nous aimons « détester » n’a jamais perdu sa place dans le cœur de cette nation dispersée, et n’a cessé de faire bouger nos corps, que ce soit dans un taxi à Téhéran, chez les amis de Paris, ou dans un concert à Toronto. Il a été tiré de cet ouvrage trente exemplaires de tête, accompagnés d’une affiche et d’une cassette de Post California coproduite par GwinZegal et Anywave. Avec le soutien à l’édition du Centre national des arts plastiques.
Photography monographs