$39.95
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Few twentieth-century writers on architecture and design have enjoyed the renown of Reyner Banham. Born and trained in England and a U.S. resident starting in 1976, Banham wrote incisively about American and European buildings and culture. Now readers can enjoy a chronological cross-section of essays, polemics, and reviews drawn from more than three decades of Banham's(...)
A critic writes : essays by Reyner Banham
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Few twentieth-century writers on architecture and design have enjoyed the renown of Reyner Banham. Born and trained in England and a U.S. resident starting in 1976, Banham wrote incisively about American and European buildings and culture. Now readers can enjoy a chronological cross-section of essays, polemics, and reviews drawn from more than three decades of Banham's writings. The volume, which includes discussions of Italian Futurism, Adolf Loos, Paul Scheerbart, and the Bauhaus as well as explorations of contemporary architecture by Frank Gehry, James Stirling, and Norman Foster, conveys the full range of Banham's belief in industrial and technological development as the motor of architectural evolution. Banham's interests and passions ranged from architecture and the culture of pop art to urban and industrial design. In brilliant analyses of automobile styling, mobile homes, science fiction films, and the American predilection for gadgets, he anticipated many of the preoccupations of contemporary cultural studies. Los Angeles, the city that Banham commemorated in a book and a film, receives extensive attention in essays on the Santa Monica Pier, the Getty Museum, Forest Lawn cemetery, and the ubiquitous freeway system. Eminently readable, provocative, and entertaining, this book is certain to consolidate Banham's reputation among architects and students of contemporary culture. For those acquainted with his writing, it offers welcome surprises as well as familiar delights. For those encountering Banham for the first time, it comprises the perfect introduction.
Architectural Theory
books
$23.00
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Au cours des dernières années, une nouvelle image extrêmement troublante de la ville est apparue : celle de la ville de « niveau international » où les activités et les centres d’attractions dominent au point de réduire la métropole postmoderne à un gigantesque parc thématique qui ne laisse aucun autre choix à ses résidants que celui de consommer. Dans ce livre, Mark(...)
Mégalomanie urbaine : la spoliation des espaces publics
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Au cours des dernières années, une nouvelle image extrêmement troublante de la ville est apparue : celle de la ville de « niveau international » où les activités et les centres d’attractions dominent au point de réduire la métropole postmoderne à un gigantesque parc thématique qui ne laisse aucun autre choix à ses résidants que celui de consommer. Dans ce livre, Mark Douglas Lowes analyse les contextes économique, politique et culturel dans lesquels la ville de Vancouver use de son plus spectaculaire événement sportif professionnel — la course automobile du Molson Indy de Vancouver (MIV) — pour se construire une telle image. Cauchemars urbains a pour but d’explorer le rôle croissant que joue le sport professionnel dans les stratégies de croissance économique et culturelle des villes nord-américaines d’importance. Lowes défend la thèse selon laquelle des événements comme le MIV peuvent servir d’élément rassembleur efficace de la population contre l’idéologie de la ville de niveau international; une idéologie qui tente de remplacer le citoyen par le consommateur comme point de référence de la vie urbaine. Cette recherche exploratoire présente également les résultats d’une étude de cas sur la manière dont les membres d’une communauté de la ville de Vancouver ont mobilisé leur colère et leur opposition à la course automobile du Molson Indy jusqu’à réussir, non sans difficultés, à en empêcher la relocalisation dans le parc de leur quartier. Dans un monde de plus en plus influencé par la culture promotionnelle, nous ne pouvons ignorer l’omniprésence, dans notre quotidien, des mégaprojets sportifs. En fait, le sport professionnel est devenu un des « derniers grands rituels publics de la culture de la fin du XXe siècle ». Pour certains, les grands événements sportifs professionnels sont souvent une occasion de faire de l’argent pour les organisateurs, les commanditaires, les intervenants du milieu du tourisme, de l’immobilier et de la construction. Cependant, tout le monde ne partage pas ce point de vue promotionnel. L’auteur présente donc l’expérience de gens s’opposant au développement de mégaprojets sportifs de niveau professionnel et qui sont inquiets de la manière dont leur communauté se développe. En ces temps où les communautés locales sont attaquées de toutes parts, célébrer ces occasions où les Canadiens agissent comme si leur communauté « leur appartenait à eux » et non aux promoteurs et à l’élite des milieux politique, culturel ou des affaires qui s’accaparent généralement le pouvoir d’une ville.
books
April 2005, Montréal
Urban Theory
Architecture goes wild
$29.95
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In his writings, architect Kas Oosterhuis bridges the gap between theory and practice. His observations are based on the principle of concrete science fiction. He is convinced that every construct - hardware or software - that can be formulated as a consistent set of rules is realizable within the social constraints of our present-day culture. In his essay(...)
Architecture goes wild
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In his writings, architect Kas Oosterhuis bridges the gap between theory and practice. His observations are based on the principle of concrete science fiction. He is convinced that every construct - hardware or software - that can be formulated as a consistent set of rules is realizable within the social constraints of our present-day culture. In his essay 'Space_Time_Volume' Kas Oosterhuis places himself in the local and temporary delamination point between the micro- and macroworlds. He speculates on a seamless continuity of these worlds where the instrumental human position is only one of many possible positions. Our perception of the universe is based on observations made by instruments. Language is seen as such an instrument. In 'Wild Bodies' Oosterhuis asserts that all true architecture inevitably will be programmed to perform in real time. This point of view is based on the observation that traditional fixed and static architecture is a highly unlikely state among all possible ones. An architectural construct is regarded as a body with real-time behaviour that is always in motion. Computer programs speak the new instrumental language in which potential new worlds are described. 'Automotive Styling' declares the human driver of the automobile to be the voluntary prisoner of the physical car-road communications network. In 'Vectorial Bodies' the human driver is nothing less than fuzzy software programming the car to lead it to his destinations. There is no place for romantic ideas such as freedom of movement, but there is the overwhelming desire of carbon-based life forms to exchange data with industrial and digital life forms.
Architectural Theory
Le futur n'existe pas
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Un philosophe spécialiste de Bergson et d’Einstein, passionné d’art contemporain (Elie During), un artiste issu du design automobile, connu pour ses projets mêlant fiction, utopie et fiction d’utopie (Alain Bublex), se rencontrent autour d’un problème commun : celui de notre rapport au futur. Mais une fois dit que le futur n’existe que sur le mode de la prévision, de la(...)
Le futur n'existe pas
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Un philosophe spécialiste de Bergson et d’Einstein, passionné d’art contemporain (Elie During), un artiste issu du design automobile, connu pour ses projets mêlant fiction, utopie et fiction d’utopie (Alain Bublex), se rencontrent autour d’un problème commun : celui de notre rapport au futur. Mais une fois dit que le futur n’existe que sur le mode de la prévision, de la projection ou du fantasme, comment faire autrement que parler du présent – par exemple de notre incapacité présente à désirer le futur ? Ce thème de la « nostalgie du futur » a été développé par des penseurs comme Jameson sur les ruines des grands récits et des utopies du siècle, dont témoignent à leur manière les grandes expositions universelles. Il nourrit aujourd’hui des discours ambivalents sur la « rétro-manie » ou le « rétrofuturisme », un courant qui traverse toute la culture contemporaine, de la science-fiction à la musique pop en passant par l’architecture, la mode ou le design. Les auteurs de ce livre proposent du phénomène rétrofuturiste une lecture différente, en partant d’une intuition simple : le futur n’existe qu’à travers les innombrables futurs portés par les époques révolues, et notamment par notre modernité proche, qui a peut-être tenté avec plus d’intensité qu’aucune autre de prendre son avenir en main. L’histoire est décidément bien plus peuplée qu’on ne l’imagine. Les futurs du passé, non réalisés, insistent au coeur de notre temps, dessinant par leurs lignes de futurition active une multitude d’histoires parallèles. Ces futurs existent-ils moins que les autres ? Pourquoi ne pas leur conférer une dignité ontologique égale à celle des futurs du présent ? Ce serait l’occasion d’en parler, pour une fois, sans ironie ni nostalgie, du point de vue des ressources qu’ils offrent au projet artistique, mais aussi à la création philosophique.
Critical Theory