Les centres d’exécution des commandes sont en grande partie exploités dans l’ombre par des robots autonomes. Les simulations urbaines entraînent la prochaine génération d’automobiles. Pokémon Go a incidemment amassé le plus grand ensemble de données spatiales. Les sonnettes intelligentes autorisent ou refusent l’accès aux domiciles. Ce que ces scénarios ont en commun, ce sont les optiques computationnelles qui fonctionnent dans et à travers l’environnement bâti.
Outils d’aujourd’hui 2025 explore la façon dont les optiques computationnelles sont des systèmes de perception alimentés par des logiciels. Le séminaire est organisé en collaboration avec Simone Niquille, designer, chercheur.e et artiste des nouveaux médias. Les définitions de l’optique computationnelle vont de la vision par ordinateur à la photographie computationnelle, en passant par les systèmes de surveillance et la robotique autonome. L’optique computationnelle déplace le point de capture photographique vers un point de calcul. Pensez aux 4 billions d’opérations par photo qui s’effectuent sur un iPhone, à votre insu, avant que l’image finale n’apparaisse à l’écran en un clin d’œil, ou à la capacité d’un robot aspirateur à se déplacer dans son environnement. Le programme s’étend sur cinq jours pendant la semaine du 14 juillet et s’achève par un événement public le soir du 18 juillet.
L’optique computationnelle repose sur un monde qui est lisible, classifiable et visible afin de fonctionner. Quel est le rôle de l’architecture dans la facilitation d’un tel environnement? Les méthodes architecturales peuvent-elles interagir de manière critique avec l’optique computationnelle, créant délibérément des espaces qui sont illisibles et inclassables, plutôt que de concevoir des lieux où se cacher, et favoriser des endroits qui résistent à la standardisation et aux normes sociales que la computation recherche?
Le programme de séminaires, de rencontres avec la collection du CCA et de discussions avec les participant.e.s au Programme de résidences de recherche pour doctorants 2025 a traité des univers qui sont in/visibles à l’optique computationnelle, en mettant l’accent sur les limites de celle-ci en matière de connaissance à travers la théorie queer, les actes d’absence et d’ambiguïté ainsi que la politique des données synthétiques.
Outre Simone Niquille, les collaborateur.trice.s aux Outils d’aujourd’hui 2025 sont Katie Addelman, Scott Berwick, Léa Boisvert-Chénier, Tommy Deer, Martien de Vletter, Alex Jokinen, Kara Keeling, Os Keyes, Jacob Gaboury, Romi Ron Morrison, Rodrigo Ochigame et Rafico Ruiz.
Ici, vous pouvez tout rechercher : nos expositions, les événements, la collection, les articles et la librairie. Si vous avez des questions, veuillez nous écrire à publications@cca.qc.ca.
Inscrivez-vous pour recevoir de nos nouvelles
Merci. Vous êtes maintenant abonné. Vous recevrez bientôt nos courriels.
Pour le moment, notre système n’est pas capable de mettre à jour vos préférences. Veuillez réessayer plus tard.
Vous êtes déjà inscrit avec cette adresse électronique. Si vous souhaitez vous inscrire avec une autre adresse, merci de réessayer.
Cete adresse courriel a été définitivement supprimée de notre base de données. Si vous souhaitez vous réabonner avec cette adresse courriel, veuillez contactez-nous
Veuillez, s'il vous plaît, remplir le formulaire ci-dessous pour acheter:
[Title of the book, authors]
ISBN: [ISBN of the book]
Prix [Price of book]
Merci d'avoir passé une commande. Nous vous contacterons sous peu.
Nous ne sommes pas en mesure de traiter votre demande pour le moment. Veuillez réessayer plus tard.