Carnage
$18.95
(disponible en magasin)
Résumé:
Jean-Marc Gancille expose un tableau sans concession de la relation que l’être humain a nouée avec le monde animal, fondée sur la domination et l’exploitation. Sacrifices religieux, collections et commerce d’animaux sauvages, domestication, utilisation à des fins militaires ou pour des expériences de laboratoires, captivité forcée dans les zoos et aquariums, chasse et(...)
mars 2025
Carnage
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Prix:
$18.95
(disponible en magasin)
Résumé:
Jean-Marc Gancille expose un tableau sans concession de la relation que l’être humain a nouée avec le monde animal, fondée sur la domination et l’exploitation. Sacrifices religieux, collections et commerce d’animaux sauvages, domestication, utilisation à des fins militaires ou pour des expériences de laboratoires, captivité forcée dans les zoos et aquariums, chasse et pêche récréatives, élevage intensif ou surpêche, etc. On n’en finit pas d’établir la liste des formes qu’adopte l’anthropocentrisme. L’auteur démontre que ce carnage n’est pas seulement un éternel enfer pour les animaux, mais aussi une tragédie pour l’espèce humaine (en raison de la destruction des écosystèmes), une négation immorale d’êtres sentients et une supercherie de l’industrie agroalimentaire (qui entretient l’idée que la consommation de protéines animales serait nécessaire).
Comme l'humanité se viande
$36.95
(disponible sur commande)
Résumé:
L’élevage accapare 77% des surfaces agricoles mondiales quand la pêche se déploie dans plus de la moitié des océans. L’un et l’autre sont sans conteste les principaux fossoyeurs de la biodiversité sauvage. Mais ils sont aussi en passe de devenir les tout premiers contributeurs du changement climatique : le secteur de la viande représente déjà près de 15% des émissions(...)
avril 2024
Comme l'humanité se viande
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Prix:
$36.95
(disponible sur commande)
Résumé:
L’élevage accapare 77% des surfaces agricoles mondiales quand la pêche se déploie dans plus de la moitié des océans. L’un et l’autre sont sans conteste les principaux fossoyeurs de la biodiversité sauvage. Mais ils sont aussi en passe de devenir les tout premiers contributeurs du changement climatique : le secteur de la viande représente déjà près de 15% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, et la demande en produits d’élevage pourrait encore croître de 144% d’ici le milieu du siècle. Face à ce désastre, l’heure n’est plus à distinguer ou à opposer les pratiques industrielles et artisanales. En réalité, les deux se combinent sous l’effet d’un appétit insatiable de protéines animales qui dévore la planète. Cette situation critique place chacun face à ses responsabilités. Alors qu’émergent des alternatives attractives à la consommation carnée, citoyens, agriculteurs, collectivités, entreprises et gouvernements ont désormais le pouvoir d’encourager une transition alimentaire respectueuse du vivant et déterminante pour la survie de l’humanité.