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Titre:
Voyage dans la Rome baroque : le vatican, les princes et les fêtes musicales

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$31.95
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Résumé:
Italianiste et historien de la musique, l'auteur plonge dans la vie culturelle de la Rome baroque aux XVIIe et XVIIIe siècles et fait découvrir la musique et l'opéra, les fêtes de l'aristocratie, les palais privés, les cérémonies du Vatican, les carnavals, les courses de chevaux.

Titre:
Rome, de Romulus à Constantin

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$52.95
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Résumé:
Fondation de l'Empire romain basée, non pas sur la culture grecque et romaine, mais avec une identité propre sur l'ensemble des territoires loin des considérations politiques, économiques et culturelles.

Titre:
Venice and the East

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$96.00
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Résumé:
This lively and richly illustrated book investigates the influence of oriental trade and travel on medieval Venice and its architecture. Architectural historian Deborah Howard examines the experiences of Venetian merchants overseas, focusing on links with Egypt, Syria, and Palestine, as well as with Persia and the Silk Route. She argues that many Venetians gained insight into Islamic culture through personal contacts with their Muslim trading partners. Based on wide-ranging multidisciplinary research, this book examines the mechanisms that governed the exchange of visual culture across ideological boundaries before the age of printing. Howard explores a range of building types that reflect the impact of Islamic imagery, paying special attention to two icon buildings, San Marco and the Palazzo Ducale. She considers the complexities of importing Muslim ideas to an unambiguously Christian city, itself the point of embarkation for pilgrims to the Holy Land.

Titre:
The architecture of modern Italy volume I: the challenge of tradition, 1750-1900

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Résumé:
Volume 1 : the challenge of tradition, 1750-1900 explores the dynamic balancing the forces demanded by a reverence for Italy's unparalleled architectural patrimony and a desire for new means of expression and technological innovation. From the neoclassical fantasies of Giovanni Battista Piranesi to the spectaculor steel-and-glass galleries of Milan, 'The challenge of tradition' reveals an underappreciated history of richness and complexity.

Titre:
L'architecture romaine dans l'ouest de la Gaule

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Résumé:
Les sept civitates de Lyonnaise occidentale qui font l'objet de cet ouvrage (Osismes, Coriosolites, Vénètes, Riédons, Namnètes, Aulerques Diablintes et Andécaves) ne conservent que bien peu de souvenirs monumentaux de l'époque romaine. N'étaient les vestiges suggestifs et remarquablement mis en valeur de Jublains (Mayenne), les ruines de l'amphithéâtre et du «nymphée» de Gennes (Maine-et-Loire) et le sanctuaire du Haut-Bécherel, à Corseul (Côtes-d'Armor), le bilan se réduirait à quelques lambeaux d'enceintes urbaines, aux traces très arasées de quelques villae et à de maigres tronçons d'aqueducs. Encadrés par les puissantes architectures néolithiques et d'innombrables réalisations des périodes médiévale et moderne, les monuments de l'époque impériale ont longtemps eu quelque peine à satisfaire la curiosité du touriste et à susciter celle du savant. On comprend dès lors aisément que la région n'occupe qu'une place très modeste dans les synthèses, même les mieux informées, quand elle n'en est pas tout simplement absente. Cette rareté des vestiges monumentaux a ancré dans bien des esprits l'idée que ces confins occidentaux des Gaules étaient largement restés à l'écart du mouvement de romanisation, et que, pour des raisons variées - manque d'intérêt de la part du conquérant, inertie, voire défiance du provincial -, elle n'est pas devenue aussi profondément romaine que les autres secteurs de la Gaule. Les fouilles et prospections de ces dernières décennies, l'étude d'une documentation épigraphique peu abondante mais non dépourvue d'intérêt et l'inventaire des blocs d'architecture corrigent largement cette image. Si les cités de l'ouest de la Gaule n'ont jamais cédé au gigantisme, si la monumentalisation y est avant tout réservée aux villes chefs-lieux et si certains édifices font apparemment défaut aux panoplies monumentales, l'intégration à l'Empire et l'adhésion des élites aux pratiques et valeurs de la romanité trouvent, ici comme ailleurs, une traduction concrète dans l'architecture publique et privée, urbaine et rurale. C'est ce qu'entend démontrer le présent ouvrage. Il dresse d'abord un état des connaissances sur plusieurs types d'édifices, pour lesquels les données disponibles autorisent désormais l'établissement d'un bilan: les forums, les édifices religieux, les domus, les villae et les tombes monumentales. Ces études sont complétées par deux enquêtes thématiques, consacrées l'une au décor architectonique, documentation jusqu'alors pratiquement inexploitée, l'autre au financement de la parure monumentale. L'ouvrage s'achève par une tentative de bilan sur l'activité édilitaire des sept cités concernées entre la fin du Ier s. avant notre ère et la fin du IVe siècle.

Titre:
La toponymie des voies romaines et médiévales : les mots des routes anciennes

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Résumé:
Si les Gaulois et leurs prédécesseurs avaient établi des axes de communication à travers l'Europe, les Romains furent célèbres pour l'implantation systématique de réseaux routiers dont héritera le Moyen Age. Une route s'avère souvent un monument important aux yeux de la population, plus que les temples ou les théâtres. Elles traversent des territoires, sont utilisées pour la vie de tous les jours, comme elles marquent le paysage. Des constructions humaines, ce sont elles qui ont laissé le plus de mots dans la mémoire du sol et dans le souvenir des hommes. Des milliers de noms dans les campagnes se rattachent aux voies, aux auberges, aux ponts, aux gués. Suivre une voie ancienne ne correspond pas seulement à faire des kilomètres ; c'est aussi une remontée dans le temps. Les noms de lieux appartiennent à l'histoire et nous guident dans différents paysages, de l'époque gauloise à la fin du Moyen Age.

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Venice from the ground up

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Résumé:
Venice came to life on spongy mudflats at the edge of the habitable world. Protected in a tidal estuary from barbarian invaders and Byzantine overlords, the fishermen, salt gatherers, and traders who settled there crafted an amphibious way of life unlike anything the Roman Empire had ever known. James H. S. McGregor recreates this world-turned-upside-down, with its waterways rather than roads, its boats tethered alongside dwellings, and its livelihood harvested from the sea. McGregor begins with the river currents that poured into the shallow Lagoon, carving channels in its bed and depositing islands of silt. He then describes the imaginative responses of Venetians to the demands and opportunities of this harsh environment - transforming the channels into canals, reclaiming salt marshes for the construction of massive churches, erecting a thriving marketplace and stately palaces along the Grand Canal. Through McGregor's eyes, we witness the flowering of Venice's restless creativity in the elaborate mosaics of St. Mark's soaring basilica, the expressive paintings in smaller neighborhood churches, and the colorful religious festivals - but also in theatrical productions, gambling casinos, and masked revelry, which reveal the city's less pious and orderly face. McGregor tells his unique history of Venice by drawing on a crumbling, tide-threatened cityscape and a treasure-trove of art that can still be seen in place today. The narrative follows both a chronological and geographical organization, so that readers can trace the city's evolution chapter by chapter and visitors can explore it district by district on foot and by boat.

Titre:
Building Renaissance Venice : patrons, architects and builders c. 1430-1500

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$29.00
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Résumé:
This book brings to life the story of the construction of some of the most outstanding early Renaissance buildings in Venice. Through a series of individual case studies, Richard J. Goy explores how and why buildings came to be built. He addresses the practical issues of constructing such buildings as the Torre dell’Orologio in Piazza San Marco, the Arsenale Gate, and the churches of Santa Maria della Carita and San Zaccaria, focusing particular attention on the process of patronage. The book traces the complete process of creating important buildings, from the earliest conception in the minds of the patrons—the Venetian state or other institutional patrons—through the choice of architect, the employment of craftsmen, and the selection of materials. In an interesting analysis of the participants’ roles, Goy highlights the emerging importance of the superintending master, the protomaestro.

Titre:
Venise à vol d'oiseau

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$119.95
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Résumé:
Ce livre invite à survoler Venise en proposant sept itinéraires, ayant pour point de départ tantôt la Terra Ferma, tantôt la lagune ou la mer. Nous identifions ainsi, au travers de ces séquences, places, quartiers, lieux et monuments sans jamais perdre de vue la forme même de la ville.

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Martial signifiers: fortress complexes by Francesco di Giorgio Martini

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$76.00
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Résumé:
Francesco di Giorgio Martini's fortress complexes, created at the end of the Quattrocento, continue to look experimental and highly speculative half a millenium later by their semiotic character. They represent an extreme of European architectural history, occupying a position where architecture and sculpture cannot be sharply distinguished any longer. The creations represented in this book have their origins in a particular historic situation: the emergence of firearms in the 14th century and their spread in the 15th century had shifted the balance of warfare in favour of the attacking side, against which the defensive structure had not yet found a remedy.