Informal city : Caracas case
$77.00
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This urban research project examines the often overlooked areas known as "barrios," "shantytowns," or "slums" and assesses their validity as an architectural phenomenon in their own right. The hills outside Caracas are dotted with transient, dilapidated structures which are home to thousands of people who create their own socio-economic environment, one which has a(...)
Théorie de l’urbanisme
août 2005, Munich / Berlin / London / New York
Informal city : Caracas case
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$77.00
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Résumé:
This urban research project examines the often overlooked areas known as "barrios," "shantytowns," or "slums" and assesses their validity as an architectural phenomenon in their own right. The hills outside Caracas are dotted with transient, dilapidated structures which are home to thousands of people who create their own socio-economic environment, one which has a unique place in the city's infrastructure. This publication can be understood as a handbook of informal urban and cultural practice. Its validity extends far beyond Caracas and encompasses nearly all Latin American metropolises. Its essays question the value of traditional Western-style socio-economic and socio-political structures, present a new form of urbanism as a subject for discussion, and show the need for a profound change in our understanding of urban culture, especially in today's era, which is characterized by increasing insecurity and uncertainty. This project was jointly initiated by the "Federal Cultural Foundation" of Germany and the "Urban Think Tank" in Caracas, Venezuela.
Théorie de l’urbanisme
$28.50
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"Downtown America" was once the vibrant urban center romanticized in the Petula Clark song-a place where the lights were brighter, where people went to spend their money and forget their worries. But in the second half of the twentieth century, "downtown" became a shadow of its former self, succumbing to economic competition and commercial decline. And the death of Main(...)
Downtown America : a history of the place and the people who made it
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"Downtown America" was once the vibrant urban center romanticized in the Petula Clark song-a place where the lights were brighter, where people went to spend their money and forget their worries. But in the second half of the twentieth century, "downtown" became a shadow of its former self, succumbing to economic competition and commercial decline. And the death of Main Streets across the country came to be seen as sadly inexorable, like the passing of an aged loved one. "Downtown America" cuts beneath the archetypal story of downtown's rise and fall and offers a new story of urban development in the United States. Moving beyond conventional narratives, Alison Isenberg shows that downtown's trajectory was not dictated by inevitable free market forces or natural life-and-death cycles. Instead, it was the product of human actors-the contested creation of retailers, developers, government leaders, architects, and planners, as well as political activists, consumers, civic clubs, real estate appraisers, even postcard artists. Throughout the twentieth century, conflicts over downtown's mundane conditions-what it should look like and who should walk its streets-pointed to fundamental disagreements over American values. Isenberg reveals how the innovative efforts of these participants infused Main Street with its resonant symbolism, while still accounting for pervasive uncertainty and fears of decline. Readers of this work will find anything but a story of inevitability. Even some of the downtown's darkest moments-the Great Depression's collapse in land values, the rioting and looting of the 1960s, or abandonment and vacancy during the 1970s-illuminate how core cultural values have animated and intertwined with economic investment to reinvent the physical form and social experiences of urban commerce. "Downtown America"-its empty stores, revitalized marketplaces, and romanticized past-will never look quite the same again.
Théorie de l’urbanisme
$24.00
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Working collaboratively for the past ten years, Sabine Bitter and Helmut Weber focus on the field of architecture and urbanism, exploring the conditions of urban life in relation to the distribution of power. They investigate the possibility of visually interpreting and critically commenting on urban and architectural structures in terms of their potential for extensive(...)
Théorie de l’urbanisme
mai 2005, Vancouver, Frankfurt am Main
Sabine Bitter / Helmut Weber : Caracas, hecho en Venezuela
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$24.00
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Working collaboratively for the past ten years, Sabine Bitter and Helmut Weber focus on the field of architecture and urbanism, exploring the conditions of urban life in relation to the distribution of power. They investigate the possibility of visually interpreting and critically commenting on urban and architectural structures in terms of their potential for extensive social change. In "Caracas, Hecho en Venezuela" Bitter and Weber question the way in which the modernist promise of shaping the city and social space has been transformed due to shifts in urban, national, and global economies and politics. They examine how architecture, urban structures and entire territories in Caracas have been appropriated, "reterritorialized", and transformed by the people who live in them.
Théorie de l’urbanisme
$37.95
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Fantasmapolis, la ville contemporaine et ses imaginaires est le fruit d'une réflexion sur la ville à l'ère de la globalisation. L'exposition réalisée dans ce cadre réunit des artistes qui abordent la ville contemporaine dans des perspectives utopiques, critiques ou poétiques. L'association de leurs œuvres crée un paysage urbain fantasmagorique plutôt qu'elle ne témoigne(...)
Fantasmapolis : la ville et ses imaginaires
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Fantasmapolis, la ville contemporaine et ses imaginaires est le fruit d'une réflexion sur la ville à l'ère de la globalisation. L'exposition réalisée dans ce cadre réunit des artistes qui abordent la ville contemporaine dans des perspectives utopiques, critiques ou poétiques. L'association de leurs œuvres crée un paysage urbain fantasmagorique plutôt qu'elle ne témoigne d'un regard documentaire. La circulation accrue des personnes et la communication accélérée des informations transforment les espaces urbains en lieux de transit où l'individu tend à disparaître. Reste alors un décor architectural immobile, suspendu dans le temps et dans l'espace. Les artistes proposent des visions de villes décontextualisées : cités existantes ou imaginaires, elles forment un univers urbain fantasmé. Conçu à la fois comme un complément de l'exposition et un ouvrage théorique, ce catalogue rassemble des textes qui reflètent une recherche pluridisciplinaire autour de la ville contemporaine. Valérie Mavridorakis et David Perreau introduisent la publication en résumant la problématique de Fantasmapolis. Évoquant la globalisation, Elvan Zabunyan inscrit le propos de l'exposition dans une perspective postcoloniale. Un texte de Lieven de Cauter présente les processus de théâtralisation qui affectent l'urbanité. Bruce Bégout se livre à une investigation philosophique de Las Vegas, emblème de la ville décor. Un entretien avec l'architecte et urbaniste Serge Wachter permet de soulever des questions relatives au transit urbain. Marie-Ange Brayer analyse l'utilisation de la maquette d'architecture dans l'art contemporain. Enfin, un écrit inédit de Bodys Isek Kingelez complète cet espace de réflexion et introduit les notices consacrées aux artistes.
Théorie de l’urbanisme
$77.95
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Le Paris arpenté et croqué par le dessinateur Louis Bretez aux ordres du prévôt Michel Etienne Turgot n'a pas encore tout à fait disparu de notre paysage urbain. Cependant, dans maints endroits, un effort d'imagination est nécessaire pour restituer à partir des images et des commentaires l'ambiance des rues, les alignements des immeubles, les places et les parvis(...)
Théorie de l’urbanisme
octobre 2005, Paris
Le Paris des Lumières d'après le plan de Turgot (1734-1739)
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Le Paris arpenté et croqué par le dessinateur Louis Bretez aux ordres du prévôt Michel Etienne Turgot n'a pas encore tout à fait disparu de notre paysage urbain. Cependant, dans maints endroits, un effort d'imagination est nécessaire pour restituer à partir des images et des commentaires l'ambiance des rues, les alignements des immeubles, les places et les parvis d'églises,b les berges de la Seine. Face à la clôture des Universités Paris VI et VII, place Jussieu, est-il possible en fermant les yeux d'imaginer l'entrée de l'abbaye Saint-Victor? Assis au pied de la fontaine des Innocents, a-t-on idée que l'on pénètre l'ancien domaine des morts de Paris du cimetière des Innocents? Côté est de la place Saint-Germain des Prés, sur un banc du square Laurent Prache, on se souviendra qu'à cet emplacement s'élevait l'une des plus précieuses bibliothèques des XVIIe et XVIIIe siècles, où étudiaient et écrivaient les savants de l'époque. A l'inverse, une promenade au jardin des Plantes, une visite place des Vosges où dans les hôtels du Marais illustreront livre en main et sur place l'exactitude des dessins et la permanence de l'occupation des lieux. L'association judicieuse des extraits du plan de Paris de Turgot aux images contemporaines - gravures, dessins, tableaux -, aux photographies modernes et aux commentaires des auteurs permettront à tout un chacun d'aller à la rencontre, non pas de fantômes, mais de témoignages du passé. Cet ouvrage n'est pas le récit nostalgique de l'altération ou de la disparition des sites et des monuments anciens de Paris, mais l'histoire illustrée par plus de cent lieux caractéristiques, lieux de vie et lieux de mémoire.
Théorie de l’urbanisme
Jakob Kolding : City 2
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Danish artist and urban activist Jakob Kolding makes collages that ask: "Who built your neighborhood? For whom was it built? Who uses the space?" This is a visual and verbal dialogue on the dense urban landscapes familiar throughout the globe. Through essays, poignant collages of appropriated comic book images and black-and-white photos with text, Kolding makes it clear(...)
Jakob Kolding : City 2
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$49.95
(disponible en magasin)
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Danish artist and urban activist Jakob Kolding makes collages that ask: "Who built your neighborhood? For whom was it built? Who uses the space?" This is a visual and verbal dialogue on the dense urban landscapes familiar throughout the globe. Through essays, poignant collages of appropriated comic book images and black-and-white photos with text, Kolding makes it clear that urban planning has failed miserably, creating concrete corridors that are veritable holding tanks for the masses. But he also finds the spark of human spirit rising through youth street culture, pop music, and skateboarding. A definite reality check on architecture and urban planning! Essays by Stephen Graham, Simon Marvis, Iain Borden and Doreen Massey.
Théorie de l’urbanisme
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L'architecte Roland Castro délivre avec son "J'affirme", un manifeste de politique générale servie par une forme poétique. Ce livre est le programme du candidat Castro, président du MUC, à l'élection présidentielle de 2007. Le MUC, c'est le Mouvement de l'utopie concrète créé par l'architecte Roland Castro, qui fut notamment conseiller pendant les années Mitterand sur(...)
J'affirme : manifeste pour une insurrection du sens
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L'architecte Roland Castro délivre avec son "J'affirme", un manifeste de politique générale servie par une forme poétique. Ce livre est le programme du candidat Castro, président du MUC, à l'élection présidentielle de 2007. Le MUC, c'est le Mouvement de l'utopie concrète créé par l'architecte Roland Castro, qui fut notamment conseiller pendant les années Mitterand sur les questions d'urbanisme en banlieue. Dans les dictionnaires de synonymes, le mot utopie est associée à "chimère", bref suppose un idéal irréalisable et, par ces temps peu portés au rêve, être qualifié d'utopiste est rarement un compliment. Mais pour Roland Castro, qui appartient il est vrai à une profession qui a toujours nourri d'authentiques utopistes, "idéalisme" n'est pas un gros mot. Le rassemblement politique hors partis qu'il a imaginé se veut donc une boite à idée au service de tous les citoyens.
Théorie de l’urbanisme
$32.95
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Ce sont sans doute ses contradictions qui rendent fascinante Los Angeles, l’anti-ville qui est pourtant la deuxième ville des États-Unis. Il n’est que de voir la pléiade d’auteurs qui en ont fait la toile de fond de leur roman ou de leur film. Ses défauts majeurs - le paroxysme de l’étalement urbain, une ville-banlieue impraticable sans voiture - portent paradoxalement(...)
Portrait de ville : Los Angeles
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Ce sont sans doute ses contradictions qui rendent fascinante Los Angeles, l’anti-ville qui est pourtant la deuxième ville des États-Unis. Il n’est que de voir la pléiade d’auteurs qui en ont fait la toile de fond de leur roman ou de leur film. Ses défauts majeurs - le paroxysme de l’étalement urbain, une ville-banlieue impraticable sans voiture - portent paradoxalement une part statistique de rêve : celui de la maison individuelle ; celui aussi des strass et paillettes de l’univers hollywoodien... Quand on évoque le paysage de Los Angeles, une plaine côtière entre mer et montagnes (jusqu’à plus de 3000 m), gigantesque oasis suburbaine dans le désert californien, surgissent de multiples clichés : le soleil sur l’océan Pacifique et les grandes plages de sable fin où s’ébrouent les pulpeuses coast-guards en maillot rouge des séries américaines ; les autoroutes urbaines avec leurs échangeurs qui sillonnent les quelque 100 km d’étendue de l’agglomération ; les nappes de lotissements pavillonnaires noyés dans une végétation plus ou moins dense s’étendant à l’infini au fil de tracés viaires en damiers ; l’émergence des tours de Downtown qui, à l’échelle métropolitaine, a plutôt valeur de monument que de centre-ville, ou celle de plusieurs vagues de collines entre montagne et mer. Autre paradoxe, si l’on s’intéresse plus spécialement à l’architecture : Los Angeles est à la fois un océan de banalité - celle de l’habitation ordinaire, des centres commerciaux standards et des stations-service - et un musée d’architecture de plein air où plusieurs générations de grands architectes modernes et contemporains ont laissé leur signature, notamment pour des maisons particulières, comme Frank Lloyd Wright, Rudolf Schindler et Richard Neutra, puis Charles Eames, Pierre Koenig, John Lautner, Craig Ellwood et Cesar Pelli, ou plus récemment Charles Moore, Frank Gehry, ou Morphosis... Enfin, l’apparente tranquillité des lieux est violemment contredite à divers égards. Chacun sait que la faille de San Andrea est là et qu’un jour ou l’autre surviendra un cataclysme majeur. De plus, contrairement aux idées reçues qui veulent que les conflits sociaux s’expriment sur les lieux de travail ou dans les ghettos urbains denses, Los Angeles a connu il n’y a pas si longtemps des émeutes dans des quartiers noirs pavillonnaires qui ont révélé qu’elle était sous haute tension sociale autant que géologique. Fondée à l’heure de la colonisation espagnole (1781), elle n’est alors qu’un village agricole à main d’œuvre indienne. Après l’annexion de la Californie par les États-Unis (1848), la ville se développe sous la houlette des Anglo-américains protestants, même si d’autres communautés s’y installent : Mexicains, Chinois, Noirs, puis Japonais. La ségrégation ethnico-sociale, aussi spontanée qu’affirmée, est aussi spatiale. Bien que la communauté hispanique soit depuis longtemps la plus importante (plus de 45%, principalement dans East Los Angeles), aucun maire chicano n’avait été élu depuis 1872, lorsque La n’avait encore que 6000 habitants, contre 3,8 millions aujourd’hui et plus de 15 millions pour l’aire métropolitaine. La toute récente élection (mai 2005) du nouveau maire de la ville, Antonio Villaraigosa, est donc un événement. Ancien député du parlement californien, il est le fils d’immigrés mexicains pauvres, et il a bénéficié cette fois de l’appui de la communauté noire. Parmi les dossiers les plus chauds qu’il aura à traiter figurent les tensions raciales, la pénurie de logements, la pollution et la congestion du trafic.
Théorie de l’urbanisme
$72.95
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Longtemps un épiphénomène, les gated communities -enclaves résidentielles privées protégées par des murs ou grilles et à l'entrée réservée aux seuls résidents ou leurs invités - prospèrent dans le monde entier. Elles ne relèvent plus d'une aberration urbaine ou de simples «ghettos pour riches», mais incarnent l'aboutissement d'une évolution, peut-être inexorable, de la(...)
Prisonniers volontaires du rêve américain
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$72.95
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Longtemps un épiphénomène, les gated communities -enclaves résidentielles privées protégées par des murs ou grilles et à l'entrée réservée aux seuls résidents ou leurs invités - prospèrent dans le monde entier. Elles ne relèvent plus d'une aberration urbaine ou de simples «ghettos pour riches», mais incarnent l'aboutissement d'une évolution, peut-être inexorable, de la ville contemporaine où la mixité et l'hétérotopie deviennent l'exception. Observant Los Angeles - the Wonder City of America - l'ouvrage éclaire les conditions d'apparition du phénomène : étalement, insécurité, ségrégation raciale ou sociale, hégémonie du marketing, privatisation de l'espace public... Dans l'environnement incertain des mégapoles où tout est démesuré, sans qualité, et l'habitant un être nomade, le salut apparaît dans de petites communautés homogènes, où la réminiscence du village le dispute au modèle du parc à thèmes. Parcs, campus, gated communities et autres enclaves privées, autarciques, structurées en réseau, forment l'alternative à la ville traditionnelle. Partout, le domaine commun, celui de l'espace civique partagé et libre, se voit remplacé par des territoires morcelés, repliés sur eux, " contrôlés " : celui des gangs et des exclus ou celui des tenants du rêve américain.
Théorie de l’urbanisme
$23.95
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"Lots of parking" examines a neglected aspect of this rise of the automobile: the impact on America not of cars in motion but of cars at rest. While most studies have tended to focus on highway construction and engineering improvements to accommodate increasing flow and the desire for speed, John A. Jakle and Keith A. Sculle examine a fundamental feature of the urban,(...)
Théorie de l’urbanisme
juillet 2005, Charlottesville / London
Lots of parking : land use in a car culture
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$23.95
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Résumé:
"Lots of parking" examines a neglected aspect of this rise of the automobile: the impact on America not of cars in motion but of cars at rest. While most studies have tended to focus on highway construction and engineering improvements to accommodate increasing flow and the desire for speed, John A. Jakle and Keith A. Sculle examine a fundamental feature of the urban, and suburban, scene—the parking lot. Their lively and exhaustive exploration traces the history of parking from the curbside to the rise of public and commercial parking lots and garages and the concomitant demolition of the old pedestrian-oriented urban infrastructure. In an accessible style enhanced by a range of interesting and unusual illustrations, Jakle and Sculle discuss the role of parking in downtown revitalization efforts and, by contrast, its role in the promotion of outlying suburban shopping districts and its incorporation into our neighborhoods and residences.
Théorie de l’urbanisme