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Saint-Simon le citait comme « le plus savant homme dans l'art des sièges et de la fortification, et le plus habile à ménager la vie des hommes ». Il était ingénieur du roi en 1655, à l'âge de 22 ans et sa réputation fut bientôt établie comme preneur de villes. Salué comme l'un des plus grands ingénieurs militaires d'Europe, Sébastien Le Prestre de Vauban (1633-1707)(...)
Vauban le maître des forteresses
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Résumé:
Saint-Simon le citait comme « le plus savant homme dans l'art des sièges et de la fortification, et le plus habile à ménager la vie des hommes ». Il était ingénieur du roi en 1655, à l'âge de 22 ans et sa réputation fut bientôt établie comme preneur de villes. Salué comme l'un des plus grands ingénieurs militaires d'Europe, Sébastien Le Prestre de Vauban (1633-1707) s'intéressa aussi aux impôts, à la navigation, la philosophie, l'urbanisme, la politique, tous ces domaines contribuant à sa nature de fin stratège. Cinquante-trois années passées au service de Louis XIV lui permirent de bâtir 151 places fortes et villes fortifiées, de participer à plus de 50 sièges et de parcourir 180 000 km à travers la France. 300 ans après sa mort, si son travail est encore palpable, gravé dans la pierre de ses citadelles, c'est sans doute aussi à cause de ses partis pris. Vauban entendait en effet marier le militaire à l'humanitaire. S'il servit fidèlement le roi jusqu'à devenir maréchal de France, il sut aussi s'élever contre son absolutisme : son opposition à la révocation de l'édit de Nantes, sa suggestion d'imposer équitablement tous les sujets du Royaume en sont des exemples emblématiques. Vauban fut-il un « royaliste révolutionnaire » ou un simple réformateur ? Ses remparts ont-ils résisté à l'évolution des techniques ? Le portrait tout en nuances de Luc Mary apporte un éclairage neuf sur ces questions.
livres
mars 2007, Paris
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Après la génération des pionniers du Mouvement moderne, Louis Kahn a sans doute été l'architecte le plus novateur de la seconde moitié du XXe siècle. Ses œuvres aussi bien que ses positions théoriques ont révolutionné la façon de penser et de construire l'architecture, et ouvert une nouvelle direction de recherche à des générations d'architectes. Formé par Paul Cret à la(...)
Louis I. Kahn : la construction poétique de l'espace
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Après la génération des pionniers du Mouvement moderne, Louis Kahn a sans doute été l'architecte le plus novateur de la seconde moitié du XXe siècle. Ses œuvres aussi bien que ses positions théoriques ont révolutionné la façon de penser et de construire l'architecture, et ouvert une nouvelle direction de recherche à des générations d'architectes. Formé par Paul Cret à la méthode classique des Beaux-Arts, nourri des recherches de Le Corbusier, il est fasciné par les expérimentations de Buckminster Fuller comme par l'art des peintres Josef Albers et De Kooning ; il tire profit de toutes ces influences pour élaborer peu à peu une architecture dans laquelle modernité et intemporalité se confondent. Le projet du nouveau plan urbain de Philadelphie, le musée d'Art moderne de l'université de Yale, le petit bâtiment d'entrée du Jewish Community Center sont, avec les laboratoires de recherche Jonas Salk à La Jolla, le musée Kimbell à Fort Worth ou l'institut indien de management à Ahmedabad, quelques-uns des exemples qui illustrent sa démarche, soucieuse de débarrasser l'architecture de son rôle fonctionnel pour mettre en œuvre une véritable poétique de l'espace. À l'inverse d'une monographie chronologique, la présente étude se déplace librement dans l'espace et le temps afin de cerner au mieux la construction progressive d'un langage architectural complexe. De nombreuses citations de textes de Kahn, dont certains inédits en français, ainsi que des documents originaux provenant des archives de la Fondation Kahn de Philadelphie étaient cet ouvrage, fruit de plusieurs années de recherches, de voyages et d'entretiens .
Architecture, monographies
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De A, comme Abaton, à Z, comme Zuy, voici qu'un dictionnaire nous offre la plus merveilleuse des invitation au voyage. A partir des univers que de tous temps se plurent à inventer les ecrivains du monde entier, Alberto Manguel et Gianni Guadalupi, forts de leur conviction que la fiction est réalité, ont recensé lieux imaginaires et sites chimériques. Ils en rappellent la(...)
Architecture et l'imaginaire
janvier 1900, Paris
Dictionnaire des lieux imaginaires
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De A, comme Abaton, à Z, comme Zuy, voici qu'un dictionnaire nous offre la plus merveilleuse des invitation au voyage. A partir des univers que de tous temps se plurent à inventer les ecrivains du monde entier, Alberto Manguel et Gianni Guadalupi, forts de leur conviction que la fiction est réalité, ont recensé lieux imaginaires et sites chimériques. Ils en rappellent la situation géographique, la topographie, le climat, la faune et la flore, les formes de gouvernement, les transports et moyens de communication, les moeurs et les coutumes locales, les curiosités touristiques ou les spécialités locales... Rien n'étant inventé, on pourra vérifier dans les textes cités l'exactitude de toutes ces informations, qu'enrichissent par ailleurs " les indispensables " du genre : cartes, plans, dessins, assortis de conseils pratiques, si utiles au voyageur... Recensés avec une extrême rigueur mais loin de tout souci d'exhaustivité, les auteurs et les ouvrages cités ont été choisis selon la seule règle du plaisir. Chaque article de ce dictionnaire, s'il invite à un voyage passionnant à travers l'un ou l'autre des lieux imaginaires, est également prétexte à découvrir - ou à redécouvrir - comme autant d'îles au trésor, des oeuvres illustres ou plus secrètes. Aussi, comment ne pas engager le lecteur a suivre sans délai cette recommandation d'Italo Calvino : " Dans la Bibliothèque du Superflu dont j'aimerais qu'elle trouve toujours une place sur nos étagères, ce Dictionnaire des lieux imaginaires est, sans l'ombre d'un doute, un ouvrage dont la consultation est indispensable " ? --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
livres
janvier 1900, Paris
Architecture et l'imaginaire
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Être conçue pour ne pas être : tel est le destin de l’utopie. Cette impossibilité à exister dans l’espace réel, est le critère de qualification de l’utopie dans l’espace imaginaire. Par définition, une utopie n’a donc pas de lieu sur terre, et ce qui y a trouvé une place durable n’a pas la qualité d’utopie. Le projet dont l’histoire est racontée dans ce livre,(...)
L'impératif utopique, souvenirs d'un pédagogue
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Être conçue pour ne pas être : tel est le destin de l’utopie. Cette impossibilité à exister dans l’espace réel, est le critère de qualification de l’utopie dans l’espace imaginaire. Par définition, une utopie n’a donc pas de lieu sur terre, et ce qui y a trouvé une place durable n’a pas la qualité d’utopie. Le projet dont l’histoire est racontée dans ce livre, celui du Fresnoy-Studio national des arts contemporains, s’est réalisé grâce au caractère utopique dont il s’était fait un impératif : paradoxe ? exception à la règle ? En tout cas, il ne fait aucun doute que toute inflexion du projet pour le rendre réalisable, l’aurait condamné à n’être jamais réalisé. Cela pose la question du moment, de la circonstance historique, où le politique, face auquel l’utopie se détermine en s’y opposant, a adopté comme critère de ses choix, et comme règle de son action, non plus l’économie mais l’esthétique. Ephémère moment d’une esthétique du politique. Écrit à la première personne, ce récit d’une grande réalisation publique s’appuie souvent sur des anecdotes et sur les relations entre individus singuliers, chères à la micro-histoire. Outre la genèse du Fresnoy-Studio national sur dix ans, entre 1987 et 1997, est ici brossé par touches un tableau des orientations nouvelles en matière de pédagogie de l’art et de formation des jeunes artistes (en France, en Europe et ailleurs), en fonction de la révolution des techniques, des langages artistiques, des moyens d’expression et de communication, à la fin du XXe siècle.
Théorie de l’art
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Sans doute faut-il préciser l’objet qui donne son titre à ce livre. Le temps du paysage ici considéré n’est pas celui où l’on a commencé à décrire dans des poèmes ou à représenter sur des murs des jardins fleuris. Il est celui où le paysage s’est imposé comme un objet de pensée spécifique. Cet objet de pensée s’est constitué à travers des querelles concrètes sur(...)
Le temps du paysage : aux origines de la révolution esthétique
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Sans doute faut-il préciser l’objet qui donne son titre à ce livre. Le temps du paysage ici considéré n’est pas celui où l’on a commencé à décrire dans des poèmes ou à représenter sur des murs des jardins fleuris. Il est celui où le paysage s’est imposé comme un objet de pensée spécifique. Cet objet de pensée s’est constitué à travers des querelles concrètes sur l’aménagement des jardins, des descriptions minutieuses de parcs ornés de temples à l’antique ou d’humbles sentiers forestiers, des récits de voyages à travers lacs et montagnes solitaires ou des évocations de peintures mythologiques ou rustiques. Et ce livre en suivra les détours. Mais ce qui se forme à travers ces récits et ces querelles, ce n’est pas simplement le goût pour un spectacle qui charme les yeux ou élève l’âme. C’est l’expérience d’une forme d’unité de la diversité sensible propre à modifier la configuration existante des objets de pensée et des notions propres à les penser. Le temps du paysage est celui où l’harmonie ou la dysharmonie présentée par les jardins aménagés ou par la nature sauvage contribue à bouleverser les critères du beau et le sens même du mot art. Ce bouleversement en implique un autre qui affecte le sens d’une notion fondamentale, dans l’usage commun comme dans la réflexion philosophique, celle de nature. Or on ne touche pas à la nature sans toucher à la société qui est censée obéir à ses lois. Et le temps du paysage est aussi celui où une certaine harmonie du spectacle des champs, des forêts ou des cours d’eau s’avère propre à métaphoriser l’ordre qui convient aux sociétés humaines.
Théorie du paysage
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En dehors de quelques réseaux libertaires, personne ne connaît plus aujourd'hui Émile Gravelle ou Henri Zisly, auteurs pourtant prolifiques, expérimentateurs aventureux et figures de proue du mouvement des anarchistes dit « naturiens ». Durant une vingtaine d'années, ce petit groupe n'a cessé de dénoncer les absurdités et les impasses de la civilisation industrielle, et(...)
Gravelle, Zisly et les anarchistes naturiens contre la civilisation industrielle
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En dehors de quelques réseaux libertaires, personne ne connaît plus aujourd'hui Émile Gravelle ou Henri Zisly, auteurs pourtant prolifiques, expérimentateurs aventureux et figures de proue du mouvement des anarchistes dit « naturiens ». Durant une vingtaine d'années, ce petit groupe n'a cessé de dénoncer les absurdités et les impasses de la civilisation industrielle, et de militer pour un retour à « la vie naturelle ». Le mouvement naît à Paris en 1894, à l'initiative du peintre et dessinateur Émile Gravelle. Il énonce les principes d'une vie naturelle opposée à la vie artificielle qui semble alors s'imposer avec le développement du capitalisme industriel et l'urbanisation qui en découle. Par la suite, le mouvement grandit et donne lieu à de nombreuses publications, des groupes plus ou moins éphémères se forment à Paris et en province, des essais de communautés vivant selon ses idées se développent en différents lieux. L'idéal naturien subsiste longtemps dans les marges du mouvement libertaire, même si la Grande Guerre et les mutations politiques qu'elle entraîne accélèrent sa marginalisation. Leurs textes, écrits il y a plus d'un siècle - dans une époque traversée par de rapides bouleversements, des aspirations et des craintes qui demeurent plus que jamais les nôtres -, restent d'une étonnante actualité. On retrouve aujourd'hui des plaidoyers comparables pour un retour à la nature chez les primitivistes américains, qui n'ont sans doute jamais lu ces lointains prédécesseurs européens. Dans leurs conflits et divergences, dans leurs contradictions mêmes, les naturiens furent d'indéniables précurseurs de la décroissance, de son utopie comme de ses difficultés. Les auteurs réunis dans cette collection constituent les racines de la pensée politique de la décroissance
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Ce sont sans doute ses contradictions qui rendent fascinante Los Angeles, l’anti-ville qui est pourtant la deuxième ville des États-Unis. Il n’est que de voir la pléiade d’auteurs qui en ont fait la toile de fond de leur roman ou de leur film. Ses défauts majeurs - le paroxysme de l’étalement urbain, une ville-banlieue impraticable sans voiture - portent paradoxalement(...)
Portrait de ville : Los Angeles
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Ce sont sans doute ses contradictions qui rendent fascinante Los Angeles, l’anti-ville qui est pourtant la deuxième ville des États-Unis. Il n’est que de voir la pléiade d’auteurs qui en ont fait la toile de fond de leur roman ou de leur film. Ses défauts majeurs - le paroxysme de l’étalement urbain, une ville-banlieue impraticable sans voiture - portent paradoxalement une part statistique de rêve : celui de la maison individuelle ; celui aussi des strass et paillettes de l’univers hollywoodien... Quand on évoque le paysage de Los Angeles, une plaine côtière entre mer et montagnes (jusqu’à plus de 3000 m), gigantesque oasis suburbaine dans le désert californien, surgissent de multiples clichés : le soleil sur l’océan Pacifique et les grandes plages de sable fin où s’ébrouent les pulpeuses coast-guards en maillot rouge des séries américaines ; les autoroutes urbaines avec leurs échangeurs qui sillonnent les quelque 100 km d’étendue de l’agglomération ; les nappes de lotissements pavillonnaires noyés dans une végétation plus ou moins dense s’étendant à l’infini au fil de tracés viaires en damiers ; l’émergence des tours de Downtown qui, à l’échelle métropolitaine, a plutôt valeur de monument que de centre-ville, ou celle de plusieurs vagues de collines entre montagne et mer. Autre paradoxe, si l’on s’intéresse plus spécialement à l’architecture : Los Angeles est à la fois un océan de banalité - celle de l’habitation ordinaire, des centres commerciaux standards et des stations-service - et un musée d’architecture de plein air où plusieurs générations de grands architectes modernes et contemporains ont laissé leur signature, notamment pour des maisons particulières, comme Frank Lloyd Wright, Rudolf Schindler et Richard Neutra, puis Charles Eames, Pierre Koenig, John Lautner, Craig Ellwood et Cesar Pelli, ou plus récemment Charles Moore, Frank Gehry, ou Morphosis... Enfin, l’apparente tranquillité des lieux est violemment contredite à divers égards. Chacun sait que la faille de San Andrea est là et qu’un jour ou l’autre surviendra un cataclysme majeur. De plus, contrairement aux idées reçues qui veulent que les conflits sociaux s’expriment sur les lieux de travail ou dans les ghettos urbains denses, Los Angeles a connu il n’y a pas si longtemps des émeutes dans des quartiers noirs pavillonnaires qui ont révélé qu’elle était sous haute tension sociale autant que géologique. Fondée à l’heure de la colonisation espagnole (1781), elle n’est alors qu’un village agricole à main d’œuvre indienne. Après l’annexion de la Californie par les États-Unis (1848), la ville se développe sous la houlette des Anglo-américains protestants, même si d’autres communautés s’y installent : Mexicains, Chinois, Noirs, puis Japonais. La ségrégation ethnico-sociale, aussi spontanée qu’affirmée, est aussi spatiale. Bien que la communauté hispanique soit depuis longtemps la plus importante (plus de 45%, principalement dans East Los Angeles), aucun maire chicano n’avait été élu depuis 1872, lorsque La n’avait encore que 6000 habitants, contre 3,8 millions aujourd’hui et plus de 15 millions pour l’aire métropolitaine. La toute récente élection (mai 2005) du nouveau maire de la ville, Antonio Villaraigosa, est donc un événement. Ancien député du parlement californien, il est le fils d’immigrés mexicains pauvres, et il a bénéficié cette fois de l’appui de la communauté noire. Parmi les dossiers les plus chauds qu’il aura à traiter figurent les tensions raciales, la pénurie de logements, la pollution et la congestion du trafic.
Théorie de l’urbanisme