$21.00
(disponible sur commande)
Résumé:
Bernard Plossu parcourt l'Ouest américain de 1966 à 1985. Du Nouveau Mexique à la Californie, via le Nevada, l'Utah, l'Arizona, il photographie les signes, signaux, néons, panneaux et façades sur lesquels apparaissent cowboys et Indiens le long des routes qui traversent le désert. Par dérision, il appelle la série « De Buffalo Bill à Automo Bill ». Sous le regard amusé du(...)
De Buffalo Bill à Automo Bill
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$21.00
(disponible sur commande)
Résumé:
Bernard Plossu parcourt l'Ouest américain de 1966 à 1985. Du Nouveau Mexique à la Californie, via le Nevada, l'Utah, l'Arizona, il photographie les signes, signaux, néons, panneaux et façades sur lesquels apparaissent cowboys et Indiens le long des routes qui traversent le désert. Par dérision, il appelle la série « De Buffalo Bill à Automo Bill ». Sous le regard amusé du photographe, les anciens ennemis, le cowboy, avec ses colts à la ceinture et son chapeau, et l'Indien, avec son tomahawk et sa coiffure en plumes, se livrent désormais une guerre commerciale en étant investis comme enseignes de boutiques rivales. Selon David Le Breton, ces photographies témoignent de la nostalgie inguérissable d'un monde amérindien disparu dont Bernard Plossu a longtemps rêvé. L'ombre des populations indiennes ayant vécu dans sa proximité continue à hanter le désert. Il y a là dans ces rochers et dans la nostalgie de la mesa, l'image possible d'une existence où la fêlure serait atténuée, où une hospitalité serait enfin pensable. Mémoire d'un monde sans séparation mais voué au dépouillement, à l'essentiel, à l'élémentaire.
Monographies photo
Villa Sovietica
$45.95
(disponible en magasin)
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Cette publication nous introduit à la culture matérielle de la vie quotidienne soviétique de manière inattendue, à la fois avec des pratiques familières à l’anthropologie culturelle et avec des outils issus du champ artistique. La première partie du livre est conçue comme un essai visuel, un voyage à travers différents contextes dans lesquels les objets soviétiques(...)
Villa Sovietica
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$45.95
(disponible en magasin)
Résumé:
Cette publication nous introduit à la culture matérielle de la vie quotidienne soviétique de manière inattendue, à la fois avec des pratiques familières à l’anthropologie culturelle et avec des outils issus du champ artistique. La première partie du livre est conçue comme un essai visuel, un voyage à travers différents contextes dans lesquels les objets soviétiques apparaissent. Le lecteur est invité à découvrir certains échantillons de la culture matérielle (post)soviétique en posant l’acte délibéré de découper les pages qui les cachent sous une forme sublimée, dispersés parmi une centaine de photos de terrain prises en Roumanie, Slovaquie, Ukraine et Suisse.Dans une deuxième partie, une quinzaine d’auteurs, universitaires de différentes disciplines et traditions intellectuelles issus du monde post-soviétique et occidental, confrontent leurs points de vues sur les questions de la matérialité et de la spatialité, sur les rapports Est-Ouest, sur l’histoire de l’objet soviétique, sur le regard photographique, sur la mémoire, sur le fait de collectionner, en particulier sur la pratique muséale d’acquérir et de montrer des objets de l’autre, et mettent en évidence finalement la complémentarité entre anthropologie et art.
périodiques
Revue historique.
Paris : Librairie G. Bailleère, 1876-, Paris : Librairie Félix Alcan, Paris : Presses Universitaires de France
périodiques
Paris : Librairie G. Bailleère, 1876-, Paris : Librairie Félix Alcan, Paris : Presses Universitaires de France
$55.00
(disponible sur commande)
Résumé:
Le nom de James Duncan est inconnu, mais ses œuvres sont pourtant la mémoire vivante de Montréal pendant les cinquante années où il y fut actif, soit de 1830 à 1880. Né en Irlande, il est le premier artiste britannique à s’établir à Montréal qui s’impose alors comme la ville la plus importante du Canada. Duncan suit l’Évolution de la cité coloniale et en fournit des vues(...)
juin 2023
James Duncan (1806-1881) : Peintre de Montréal
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Résumé:
Le nom de James Duncan est inconnu, mais ses œuvres sont pourtant la mémoire vivante de Montréal pendant les cinquante années où il y fut actif, soit de 1830 à 1880. Né en Irlande, il est le premier artiste britannique à s’établir à Montréal qui s’impose alors comme la ville la plus importante du Canada. Duncan suit l’Évolution de la cité coloniale et en fournit des vues panoramiques ainsi que des scènes détaillées des événements qui s’y déroulent. Ses œuvres sont reproduites par l’estampe et publiées dans la presse. Ses aquarelles captent l’animation de la rue et montrent les résidents s’adonnant à leurs activités quotidiennes. Sensible au mouvement des saisons, Duncan célèbre les couleurs de l’automne et s’inspire de l’hiver. Particulièrement intéressé par les mœurs locales, il est attentif aux aspects qui caractérisent la vie canadienne et la spécificité des paysages. Principalement destinée aux visiteurs et aux connaisseurs, son œuvre présente la colonie britannique sous son meilleur jour. Première monographie consacrée à cet artiste, cet ouvrage illustré de plus de 160 œuvres de Duncan révèle les divers aspects de sa carrière, une plongée unique dans le Montréal du 19e siècle.
livres
$41.95
(disponible sur commande)
Résumé:
"Prenant appui sur les politiques institutionnelles, l'auteur montre comment le musée virtuel résulte en fait d'une interprétation du support numérique qui en hypostasie la portée spectaculaire au lieu d'en favoriser l'appréhension documentaire. Le musée virtuel réaliserait ainsi la parfaite concrétisation des objectifs économiques et éducatifs du musée, en parfaite(...)
janvier 2002, Paris
Le patrimoine à l'ère du document numérique : du musée virtuel au musée médiathèque
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$41.95
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Résumé:
"Prenant appui sur les politiques institutionnelles, l'auteur montre comment le musée virtuel résulte en fait d'une interprétation du support numérique qui en hypostasie la portée spectaculaire au lieu d'en favoriser l'appréhension documentaire. Le musée virtuel réaliserait ainsi la parfaite concrétisation des objectifs économiques et éducatifs du musée, en parfaite résonnance avec le régime d'industrialisation culturelle qui règle la fréquentation du patrimoine. Mais au-delà, c'est bien du devenir de l'institution muséale dont il est question. Plutôt que de prédire la disparition de l'institution au profit de son avatar virtuel, on choisit d'ancrer ici l'interrogation dans l'histoire des relations qui unissent l'oeuvre d'art et le musée, depuis deux siècles. L'extrême plasticité du musée est mise à jour : ne serait-il pas apte à conserver et légitimer les propositions d'un art numérique aussi délocalisé soit-il? Déjà rôdé à l'absorption d'oeuvres reproductibles, de traces ou d'intentions, le musée d'art contemporain déjoue perpétuellement sa fin prévisible. Cette fois-ci la métamorphose le porte du côté de la médiathèque. Le devenir du musée se nourrit d'une perception essentiellement documentaire du patrimoine artistique. Incorporé aux industries de la mémoire, le musée nous projette désormais dans un passé actualisé et un présent pérenne."
livres
janvier 2002, Paris
Mille et une bornes
$14.95
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Il est probable que le « Mille bornes » vous évoque instantanément quelques souvenirs d’enfance, ses compositions épurées aux couleurs franches ayant la capacité d’imprimer fortement la mémoire. Mais savez-vous qui se cache derrière l’un des plus gros succès français en matière de jeu de société ? Aussi discret que talentueux, Joseph Le Callennec (1905-1988) est pourtant(...)
Mille et une bornes
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$14.95
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Résumé:
Il est probable que le « Mille bornes » vous évoque instantanément quelques souvenirs d’enfance, ses compositions épurées aux couleurs franches ayant la capacité d’imprimer fortement la mémoire. Mais savez-vous qui se cache derrière l’un des plus gros succès français en matière de jeu de société ? Aussi discret que talentueux, Joseph Le Callennec (1905-1988) est pourtant à l’origine de créations graphiques marquantes. S’il est connu pour la petite vingtaine de jeux qu’il a dessinés, dont notamment deux versions du « Mille bornes », il est aussi à l’origine de différents logos, illustrations et couvertures de livres. Malgré la disparition des archives de Joseph Le Callennec suite à l’inondation de sa cave où elles étaient conservées, Tony Durand s’est lancé dans un travail d’enquêteur et biographe qui lui a permis, après plusieurs années de recherche, de réunir une collection d’objets plus étendue qu’espéré, donnant un aperçu de la carrière de ce mystérieux ouvrier typographe devenu graphiste, créateur du design de l’un des jeux de société les plus célèbres du xxe siècle. Cet ouvrage accompagne l’exposition « Le Callennec, as du crayon » organisée par Le Signe, Centre national du graphisme à Chaumont, du 24 mai au 15 juillet 2023.
$34.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Ce texte tente de ressaisir le sens de quelques épisodes vécus depuis l’avant-guerre, porteurs de l’esprit du temps, du «Zeitgeist». La transposition littéraire de la mémoire s’appuie tantôt sur la réinterprétation de lieux côtoyés, tantôt sur des connivences établies avec diverses formes artistiques. Cette recherche s’applique à cerner les horizons de l’esprit, visions(...)
Horizons de l'esprit : étapes d'une recherche
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$34.95
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Ce texte tente de ressaisir le sens de quelques épisodes vécus depuis l’avant-guerre, porteurs de l’esprit du temps, du «Zeitgeist». La transposition littéraire de la mémoire s’appuie tantôt sur la réinterprétation de lieux côtoyés, tantôt sur des connivences établies avec diverses formes artistiques. Cette recherche s’applique à cerner les horizons de l’esprit, visions de la conscience toujours proches du paysage géographique, entre ville, campagne et montagne : espaces du souvenir, mais de l’imagination prospective aussi. Lieu, temps et action, éternelle trilogie dramatique, égrènent leurs métaphores pour qualifier l’omniprésence humaine. «Gilles Barbey étudie l’architecture à Zurich où il suit l’enseignement de l’historien Sigfried Giedion sur la conception de l’espace aux sens physique et philosophique. La pratique de la construction le conduit à approfondir les rôles multiples joués par le logement, thème auquel il consacre deux ouvrages «L’habitation captive» (1980) et «L’évasion domestique» (1990). Gilles Barbey se consacre à des recherches en écologie humaine au sein d’une association internationale (IAPS), fondée en 1979. A l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, il dispense un enseignement sur la protection du patrimoine bâti. Le présent texte adopte une orientation phénoménologique qui explore les retentissements du milieu fréquenté sur ses occupants.
Théorie de l’architecture
$48.95
(disponible en magasin)
Résumé:
Marnes se situe entre la revue de fond et le recueil d'écrits de référence, inédits ou épuisés, dans les champs de l'architecture, de l'urbanisme, de l'écologie et du paysage. Ce volume contient un texte majeur de la théorie architecturale : 'La Forme du territoire' de Vittorio Gregotti (1966), une série d'écrits d'architectes contemporains – St John Wilson, Caruso,(...)
Marnes, documents d'architecture N° 5
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$48.95
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Marnes se situe entre la revue de fond et le recueil d'écrits de référence, inédits ou épuisés, dans les champs de l'architecture, de l'urbanisme, de l'écologie et du paysage. Ce volume contient un texte majeur de la théorie architecturale : 'La Forme du territoire' de Vittorio Gregotti (1966), une série d'écrits d'architectes contemporains – St John Wilson, Caruso, Mansilla – sur Sigurd Lewerentz, un architecte suédois dont la production est l'une des plus intrigantes du XXe siècle, un article de référence de Lugi Morreti sur les 'Structures et séquences d'espace' (1953) ainsi qu'une conférence de l'historienne Frances Yates sur l'art de la mémoire. 'Projeter pour la survie', qui dresse en 1972 un état des enjeux écologiques dans la revue Architectural Design, est mis en parallèle avec un texte récent de David Holmgren, cofondateur de la permaculture, qui trace quatre scénarios pour le futur. Enfin, Philippe Lapierre explore l'univers urbain et architectural de l'auteur de bande-dessinées Chris Ware. Ces textes s'accompagnent de contributions d'Eric Alonzo, Luc Baboulet, Olivier Gaudin, Laurent Koetz et Sébastien Marot. Marnes, documents d'architecture est une production de l'Ecole d'architecture de la ville & des territoires.
Théorie de l’architecture
Stéphane Duroy: Unknown
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L'enjeu de ce travail, après les tragédies de l'Europe du XXe siècle, sera d'envisager l'Amérique comme terre d'accueil, réceptacle des drames de la vieille Europe, transposition optimiste de la misère, de la brutalité des guerres et révolutions. L'exil impose à l'homme américain une mutation radicale qui lui permet au prix d'un reniement de sa propre mémoire,(...)
Stéphane Duroy: Unknown
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L'enjeu de ce travail, après les tragédies de l'Europe du XXe siècle, sera d'envisager l'Amérique comme terre d'accueil, réceptacle des drames de la vieille Europe, transposition optimiste de la misère, de la brutalité des guerres et révolutions. L'exil impose à l'homme américain une mutation radicale qui lui permet au prix d'un reniement de sa propre mémoire, d'intégrer une nouvelle conception du monde fondée sur l'éphémère, l'abandon et le mouvement perpétuel, proche du nomadisme. Stucturé par son destin d'exilé, ce peuple puise sa force et son inventivité dans la rupture. La nostalgie devient mortifère et l'avenir trop distant pour en rêver. Il reste alors le privilège de créer l'instant et de s'adapter. Compte tenu de la radicalité de cet engagement dans le destin d'un homme, il me semble qu'à l'échelle d'un peuple, les conséquences seront certainement surprenantes. Ce travail photographique né d'un fort parti pris ignore les grands mouvements de cette 'jeune civilisation' où information, spiritualité, environnement, culture, diplomatie, riment avec consommation et profit. Pour la cohérence du projet, l'investigation se limite à New York, porte de l'Amérique, et à l'État du Montana, achèvement de la lente migration vers l'inconnu. Stéphane Leroy
Monographies photo
$46.95
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Résumé:
Qui s'en souvient, aujourd'hui? Et pourtant! Montréal, de 1844 à 1849, fut bel et bien la capitale du Canada, ou, plus justement, de la « province du Canada », ainsi qu'en avait décidé le gouvernement britannique pour sa colonie. Le Parlement siège dans un imposant bâtiment de pierre grise, érigé en 1834 au-dessus d'une petite rivière canalisée, puis réaménagé?:(...)
Montréal, capitale : L'extraordinaire histoire du site archéologique du marché Sainte-Anne et du parlement de la province du Canada
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$46.95
(disponible en magasin)
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Qui s'en souvient, aujourd'hui? Et pourtant! Montréal, de 1844 à 1849, fut bel et bien la capitale du Canada, ou, plus justement, de la « province du Canada », ainsi qu'en avait décidé le gouvernement britannique pour sa colonie. Le Parlement siège dans un imposant bâtiment de pierre grise, érigé en 1834 au-dessus d'une petite rivière canalisée, puis réaménagé?: l'ancien marché Sainte-Anne. À l'ambiance d'un marché public, avec ses étals de viande, de poisson et de volaille, succèdent le grincement des plumes des fonctionnaires sur le papier et, juste au-dessus, les débats parfois houleux des députés de l'Assemblée législative ou des membres du Conseil législatif. Mais, le soir du 25 avril 1849, des émeutiers incendient l'édifice… Ces vies successives d'une partie de l'actuelle place D'Youville, dans le Vieux-Montréal, sont restées enfouies dans le sol jusqu'à ce que des fouilles archéologiques les ramènent à la mémoire. Revivez un pan méconnu de l'histoire de Montréal, du Québec et du Canada dans le récit surprenant, mouvementé, inédit, auquel vous convie cet ouvrage collectif que signent, sur l'invitation de Pointe-à-Callière, des historiens et des archéologues passionnés.
Architecture de Montréal