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Résumé:
Est-il architecture sacrée plus actuelle que celle de ces monastères élevés au XIIe siècle par des hommes qui fuyaient le tumulte des villes pour trouver en forêt la solitude, le silence, l'eau, la pierre, la lumière ? Engendré par l'espace naturel et surnaturel, "l'environnement" géographique et mystique du Désert, déterminé par un "cadre de vie", la règle de saint(...)
L'ordre cistercien : d'après les trois soeurs provençales, Sénanque, Silvacane, Le Thoronet
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Est-il architecture sacrée plus actuelle que celle de ces monastères élevés au XIIe siècle par des hommes qui fuyaient le tumulte des villes pour trouver en forêt la solitude, le silence, l'eau, la pierre, la lumière ? Engendré par l'espace naturel et surnaturel, "l'environnement" géographique et mystique du Désert, déterminé par un "cadre de vie", la règle de saint Benoît, le monastère cistercien est exemplaire de ce qu'on appelle aujourd'hui une architecture fonctionnelle. Instrument agricole et instrument liturgique, instrument de prière, l'architecture cistercienne articule, structure, dans un ordre rigoureux, autour du cloître, ses différents bâtiments en fonction de leur utilisation d'heure en heure canoniale, au rythme solaire de l'office divin. C'est ce mouvement de l'ombre et de la lumière, informant l'architecture du lever au coucher du soleil et de l'hiver à l'été, que les photographies de ce livre ont saisi, en relevant pas à pas les lieux réguliers parcourus par le moine du XIIe siècle dans sa vie quotidienne, de Matines à Complies. Mis en regard des photographies, des textes du XIIe siècle permettent de suivre en même temps le mouvement intérieur de la méditation et de la contemplation cisterciennes d'une Lumière dont Bernard de Clairvaux disait qu'elle s'incarnait dans l'Ombre et dans la Pierre... De toutes les architectures de Cîteaux, aucune n'était plus favorable à cette démonstration que celle des "trois sœurs provençales", Sénanque, Silvacane et Le Thoronet.
Histoire jusqu’à 1900
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As with the compass needle, so people have always been most powerfully attracted northwards; everyone carries within them their own concept of north. The Idea of North is a study, ranging widely in time and place, of some of the ways in which these ideas have found expression. Peter Davidson explores the topography of north as represented in images and literature, taking(...)
The idea of north, 2nd edition
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As with the compass needle, so people have always been most powerfully attracted northwards; everyone carries within them their own concept of north. The Idea of North is a study, ranging widely in time and place, of some of the ways in which these ideas have found expression. Peter Davidson explores the topography of north as represented in images and literature, taking in Netherlandic winter paintings of the Renaissance, German Romantic landscapes, Scandinavian Biedermeyer and twentieth-century topographical painting and printmaking. He examines a bewildering diversity of mythologies and imaginings of north, including The Snow Queen; Scandinavian Sagas; ghost-stories; Moomintrolls, Arctic exploration; the fictitious snowy kingdoms of Zembla and Naboland; Nabokov's nostalgias; Baltic midsummer; rooms in winter light; compasses and star-stones; hoar-frost; ice; and glass. The book also traces a northward journey, describing northern rural England, industrial sites, and the long emptiness of the borders, Scotland and the Highlands. He looks at the region far north of Scotland, then moves to the Northern Netherlands and Scandinavia to explore their identifiable northernness.The last visited place is Iceland, identified by W. H. Auden and Louis McNeice in 1936 as 'furthest, most remote, most distant, most northerly'. An engaging meditation on solitude, absence and stillness, The Idea of North shows north to be a goal rather than a destination, a place of revelation that is always somewhere ultimate and austere.
Théorie de l’architecture
livres
L'imaginaire émergeant
$44.95
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Au début des années soixante, des revues internationales d’art et d’architecture consacraient plusieurs articles aux travaux du jeune architecte André Jacqmain. Sous le titre "Une maison pour des tableaux", L’Œil d’avril 1962 présentait la maison du couple de collectionneurs d’art moderne Bertie et Gigi Urvater. Demeure baroque conçue comme un parcours labyrinthique qui(...)
L'imaginaire émergeant
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Au début des années soixante, des revues internationales d’art et d’architecture consacraient plusieurs articles aux travaux du jeune architecte André Jacqmain. Sous le titre "Une maison pour des tableaux", L’Œil d’avril 1962 présentait la maison du couple de collectionneurs d’art moderne Bertie et Gigi Urvater. Demeure baroque conçue comme un parcours labyrinthique qui égrenait sur ses murs les Magritte, Ernst, Klee, Matta, Bacon, Riopelle… "Une maison", écrit l’auteur du texte, "qui ne ressemble à aucune autre", mettant ainsi le doigt sur ce qui caractérise l’originalité de Jacqmain. Toujours produire, au risque de ne pas faire école, des œuvres différentes nées de son imaginaire de latin du Nord et souvent soulignées par un tréfonds stylistique : réminiscences des élancements gothiques, des pagodes chinoises, de l’art déco... Après des études à l’Académie des beaux-arts de Bruxelles pendant les années de guerre, on le retrouve en 1950 aux Ateliers du Marais où il côtoie Pierre Alechinsky et Christian Dotremont. À 46 ans, en 1967, il fonde l’Atelier d’architecture de Genval, s’entoure d’une équipe, une pépinière d’idées qui fouettent l’imagination, qui lui permet d’aborder la grande échelle. Ce solitaire qui n’aime pas la solitude a toujours su s’entourer d’amis fidèles et d’artistes comme le créateur de meubles Jules Wabbes, les frères Strebelle, les photographes Gilles Ehrmann et Fabien de Cugnac, l’architecte Nicole Beeckmans qui l’a assisté dans la réalisation de ce livre où il retrace à travers des dessins son parcours, de sa naissance à aujourd’hui.
livres
janvier 2005, Bruxelles
Architecture, monographies
$33.95
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Résumé:
Poets often have responded vitally to the art of their time, and ever since Susan Stewart began writing about art in the early 1980s, her work has resonated with practicing artists, curators, art historians, and art critics. Rooted in a broad and learned range of references, Stewart's fresh and independent essays bridge the fields of literature, aesthetics, and(...)
The open studio : Essays on art and aesthetics
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Poets often have responded vitally to the art of their time, and ever since Susan Stewart began writing about art in the early 1980s, her work has resonated with practicing artists, curators, art historians, and art critics. Rooted in a broad and learned range of references, Stewart's fresh and independent essays bridge the fields of literature, aesthetics, and contemporary art. Gathering most of Stewart's writing on contemporary art—long and short pieces first published in small magazines, museum and gallery publications, and edited collections—The Open Studio illuminates work ranging from the installation art of Ann Hamilton to the sculptures and watercolors of Thomas Schütte, the prints and animations of William Kentridge to the films of Tacita Dean. Stewart's essays are often the record of studio conversations with living artists and curators, and of the afterlife of those experiences in the solitude of her own study. Considering a wide variety of art forms, Stewart finds pathbreaking ways to explore them. Whether she is following central traditions of painting, drawing, sculpture, film, photography, and printmaking or exploring the less well-known realms of portrait miniatures, collecting practices, doll-making, music boxes, and gardening, Stewart speaks to the creative process in general and to the relation between art and ethics. The Open Studio will be read eagerly by scholars of art, poetry, and visual theory; by historians interested in the links between contemporary and classic literature and art; and by teachers, students, and practitioners of the visual arts.
Théorie de l’art
$24.99
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Résumé:
C'est à Berlin, en 1926, que le réalisateur russe S. M. Eisenstein découvre l'utilisation architecturale du verre et la place qu'il occupe dans un certain nombre d'utopies de réconciliation sociale (Gropius, Mies van der Rohe, Le Corbusier…). C'est alors qu'il envisage de réaliser Glass House, un projet inabouti dont il ne reste aujourd'hui que ses notes de travail,(...)
Glass house: du projet de film au film comme projet S. M. Eisenstein
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$24.99
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Résumé:
C'est à Berlin, en 1926, que le réalisateur russe S. M. Eisenstein découvre l'utilisation architecturale du verre et la place qu'il occupe dans un certain nombre d'utopies de réconciliation sociale (Gropius, Mies van der Rohe, Le Corbusier…). C'est alors qu'il envisage de réaliser Glass House, un projet inabouti dont il ne reste aujourd'hui que ses notes de travail, publiées dans cet ouvrage. Un projet pourtant tenté à Hollywood lorsqu'Eisenstein imagina la conception d'un gratte-ciel en verre où tous seraient soumis au regard de tous, où chacun serait renvoyé à sa solitude par soumission aux valeurs capitalistes, et où la question de l'aliénation sociale se mêlerait à celle du «trouble dans le genre» au travers de personnages venus tout droit de la tradition berlinoise du cabaret. Charlie Chaplin, fasciné par cette anti-utopie où lumière et transparence aboutissent à la coercition et à la mort, avait alors soutenu le réalisateur russe. Ce n'est donc pas un hasard si, dans Le Dictateur, Hinckel avoue à Napaloni être amateur de «moderne» et vouloir mettre partout des parois et plafonds en verre. Mais Glass House fut également un projet de cinéma : un cinéma échappant aux lois de la pesanteur, à l'héritage de la peinture naturaliste et à l'architecture traditionnelle, qui conduisit Eisenstein à une réflexion esthétique sur les thèmes du polycentrisme et de l'hétérotopie – thèmes que l'art moderne et contemporain ne cesseront jamais de travailler.
livres
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Dès l'invention du premier procédé de photographie, la daguerréotype, il apparaît évident que la nouvelle découverte doit être mise au service de l'archéologie, et remplacer désormais le dessin ou la gravure. Très vite, les vues des monuments se multiplient et les sites archéologiques italiens, fréquentés depuis deux siècles par les voyageurs du « Grand Tour », deviennent(...)
novembre 2006, Paris
Ruines italiennes : photographies des collections Alinari
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Dès l'invention du premier procédé de photographie, la daguerréotype, il apparaît évident que la nouvelle découverte doit être mise au service de l'archéologie, et remplacer désormais le dessin ou la gravure. Très vite, les vues des monuments se multiplient et les sites archéologiques italiens, fréquentés depuis deux siècles par les voyageurs du « Grand Tour », deviennent un motif de prédilection des photographes, en particulier des frères Alinari, qui, en 1854, ont créé à Florence leur atelier de reproductions d'art. Du nord au sud de l'Italie, de Suse à Ségeste, ils nous font découvrir l'immense amphitéâtre de Vérone, Rome, mille et mille fois glorifiée, entre Palatin, Forum et Colisée, la villa Hadriana et le temple de la Sibylle à Tivoli, les vestiges d'Herculanum, et surtout Pompéi, qui dévoile son immensité, ses intérieurs décorés, ses morts aussi, figés dans l'éternité. Dans le sud, ils montrent Paestum et ses temples immergés dans la solitude, les sites de Sicile, plus sauvages encore... Des images singulières, tout à la fois porteuses d'informations et d'émotion, entre décor antique « authentique » et cadre pittoresque du XIXe siècle, qui sont les premières représentations de ces lieux qu'aujourd'hui nous parcourons en touristes aisés, guide et appareil photo en main, trop rarement seuls. Outre les frères Alinari, d'autres photographes, italiens mais aussi anglais, allemands, français, ont fixé ces ruines et figurent dans ce livre : Brogi, Crupi, Caneva, Anderson, Graham, Macpherson, von Gloeden, Flachéron... Préface de Charles-Henri Favrod.
livres
novembre 2006, Paris
Olafur Eliasson
$59.95
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Résumé:
Né au Danemark, Eliasson travaille aujourd hui à Berlin. Il reconstitue dans l'espace de la galerie les fragments d'une contrée lointaine et transforme en sculptures des sensations immatérielles ou des phénomènes invisibles. Une simple ouverture circulaire au plafond d'une galerie de Los Angeles, par exemple, suffit à donner l'illusion d'un pâle soleil scandinave et à(...)
juin 2007, Paris
Olafur Eliasson
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$59.95
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Résumé:
Né au Danemark, Eliasson travaille aujourd hui à Berlin. Il reconstitue dans l'espace de la galerie les fragments d'une contrée lointaine et transforme en sculptures des sensations immatérielles ou des phénomènes invisibles. Une simple ouverture circulaire au plafond d'une galerie de Los Angeles, par exemple, suffit à donner l'illusion d'un pâle soleil scandinave et à fabriquer un cadran solaire géant, évoquant à la fois les découpes architecturales de Gordon Matta-Clark et l'oculus du Panthéon de Rome. Les ouvres sereines et magnifiques d'Eliasson, inspirées par les thèmes de la nature, de la solitude et de l'introspection, ont été présentées dans les grandes manifestations internationales d'art contemporain, dont la Biennale de Venise en 1999. Dans son essai, la conservatrice Madeleine Grynsztejn étudie la démarche singulière d un artiste qui mêle l'innovation technologique à son art. Le critique et conservateur Daniel Birnbaum s'entretient avec l'artiste de l'implantation des ouvres et de leur environnement immédiat, dans et à l'extérieur du musée. Dans «Focus», le théoricien de l'architecture Michael Speaks se penche sur l'intervention d'Eliasson «Green river» (1998), qu'il compare au film tourné par Antonioni en 1964, «Le Désert rouge». L'artiste a choisi un extrait de L'Évolution créatrice d'Henri Bergson (1907) qui traite de notre rapport subjectif et visuel à la nature, thème également central de son art. Les écrits d'Olafur Eliasson rassemblent un essai sur le plus banal des sujets, le temps qu il fait, et une lettre ouverte intitulée «Chers tous», adressée à tous les spectateurs de ses ouvres sensuelles et sophistiquées.