$67.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Activité noble par excellence, le design consiste à rechercher une réponse intelligente, fonctionnelle et si possible esthétique à nos besoins, des plus quotidiens aux plus extraordinaires. Pourtant, aujourd'hui il s'apparente plus à un label de mode ou de style. Le mot «design» a-t-il été vidé de son sens? Est-il devenu un vague concept de marketing et de communication?(...)
Prodesign : Éloge du design utile
Actions:
Prix:
$67.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Activité noble par excellence, le design consiste à rechercher une réponse intelligente, fonctionnelle et si possible esthétique à nos besoins, des plus quotidiens aux plus extraordinaires. Pourtant, aujourd'hui il s'apparente plus à un label de mode ou de style. Le mot «design» a-t-il été vidé de son sens? Est-il devenu un vague concept de marketing et de communication? La réponse est oui, et en voici la démonstration. S'appuyant sur de nombreux exemples d'objets, l'intervention de quelques uns des plus grands designers et le parcours de James Dyson, une nouvelle démarche de création est proposée: le ProDesign un design axé sur l'innovation et une approche responsable, ergonomique, économique et durable au service des utilisateurs-consommateurs du monde entier.
Design industriel
$139.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Créatrice incontournable du XXe siècle, Charlotte Perriand (1903-1999) est l'une des fondatrices de l'architecture d'intérieur moderne, discipline à part entière de l'art de bâtir. Figurant parmi les pionniers du design, bien que sa démarche reste avant tout celle d'une architecte, elle n'a cessé, pendant soixante-dix ans de sa vie de création, de mener une réflexion(...)
Design, monographies
janvier 1900, Paris
Charlotte Perriand : un art d'habiter 1903-1959
Actions:
Prix:
$139.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Créatrice incontournable du XXe siècle, Charlotte Perriand (1903-1999) est l'une des fondatrices de l'architecture d'intérieur moderne, discipline à part entière de l'art de bâtir. Figurant parmi les pionniers du design, bien que sa démarche reste avant tout celle d'une architecte, elle n'a cessé, pendant soixante-dix ans de sa vie de création, de mener une réflexion politique et éthique sur un habitat adapté à l'homme. Dès sa sortie de l'école de l'Union centrale des arts décoratifs à l'âge de 22 ans, elle se libère du conservatisme dominant pour figurer deux ans plus tard dans l'avant-garde française parmi les créateurs des premiers meubles en tube. Frappé par la modernité du Bar sous le toit qu'elle expose au Salon d'automne de 1927, Le Corbusier lui propose de s'associer à lui et à Pierre Jeanneret pour l'aménagement intérieur, le mobilier et l'équipement des villas qu'ils construisent. En 1929, elle est l'une des cofondatrices de l'Union des artistes modernes. Pendant les dix années de sa collaboration avec Le Corbusier, elle poursuit des recherches sur un habitat et un mobilier pour le plus grand nombre, l'architecture préfabriquée modulaire et l'urbanisme au sein des Congrès internationaux d'architecture moderne (CIAM) dont elle est l'une des animatrices en France. Parallèlement, elle développe la technique du photomontage pour la communication de ses idées politiques. Nommée en 1940 conseillère pour l'art industriel au Japon, elle découvre une conception de l'habitat traditionnel qui rejoint les théories les plus avant-gardistes. Cette expérience est déterminante dans l'élaboration de son " Art d'habiter ", manifeste exprimant une vision fondée sur l'harmonie et le vide qu'elle rédige à son retour en France. A cette époque, elle participe à la fondation du mouvement Formes utiles dans le cadre de l'UAM. En 1952, la perspective d'une production en série l'amène à signer avec les Ateliers Jean Prouvé une convention aux termes de laquelle elle est chargée de l'amélioration esthétique (les meubles existants et d'apporter des dessins (le meubles nouveaux. Ces années 50 voient la concrétisation de ses recherches sur le rangement avec le placard Brazza, les bibliothèques Mexique et Tunisie -aussi célèbres que la chaise longue basculante, le fauteuil pivotant et le fauteuil grand confort réalisés en 1928 avec Le Corbusier et Pierre Jeanneret. Les chantiers d'équipement qu'elle dirige alors- immeuble Air France à Brazzaville, maisons de la Tunisie et du Mexique, agences Air France de Londres, Paris et Tokyo et pavillon du Brésil en 1959 - préfigurent le travail considérable qu'elle accomplira pour la station des Arcs en Savoie au cours des années 70 et 80.
Design, monographies
livres
$29.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Se risquer à prendre l'initiative d'un projet n'est pas toujours un bon calcul. Cet engagement personnel compte trop peu en face des projets de ceux qui détiennent l'autorité. Être intégré à ceux-là en revanche est une stratégie qui peut se révéler plus rentable. Ce n'est pas là une simple formalité. Soit. Mais la participation au projet se mérite parce que c'est un gage(...)
janvier 1900, Orléans
Kristina Solomoukha : les principes ne sont pas négociables
Actions:
Prix:
$29.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Se risquer à prendre l'initiative d'un projet n'est pas toujours un bon calcul. Cet engagement personnel compte trop peu en face des projets de ceux qui détiennent l'autorité. Être intégré à ceux-là en revanche est une stratégie qui peut se révéler plus rentable. Ce n'est pas là une simple formalité. Soit. Mais la participation au projet se mérite parce que c'est un gage de réussite sinon une fin en soi. Le tout sera donc d'en être en se connectant au réseau porteur. Le projet, tel que le définissent Luc Boltanski et Eve Chiapello dans Le Nouvel Esprit du Capitalisme, est bien " l'occasion et le prétexte de la connexion ", l'occasion et le prétexte de rencontres et de discussions entre des personnes réactives, mobiles, motivées et impliquées ailleurs. Car il ne suffira pas d'un seul projet pour avoir l'air d'être à la hauteur ; il en faudra sans cesse de nouveaux, et si possible plusieurs à la fois. Ainsi la vie s'écoulera au rythme des projets auxquels vous aurez la capacité de répondre. Faute de quoi, vous donnerez l'impression de stagner. L'activité de Kristina Solomoukha consiste autant à s'engager dans des projets qu'à penser et à matérialiser les formes que prend cet engagement. Projet (1997) en représente toutes les étapes en même temps qu'il les active. Son développement et sa représentation ne font qu'un. Sa mise en œuvre correspond à l'objectif qu'est sa mise en vue. Pour être transparent dans son processus, Projet reste conforme aux rouages et à l'économie de n'importe quel projet digne de ce nom. Mais toutes les phases, comme les liens entre elles, ne sont mises en forme que par des éléments au symbolisme quasiment caricatural. Projet tient ainsi dans une forme de représentation standard : la maquette. Y figurent des constructions dont l'architecture signe la fonction avec le symbolisme " cheap " d'une ville Playmobil. Un temple à colonnades figure une banque et la banque figure la phase financement du projet : simplification de circonstance qui fait écho aux schématismes efficaces de la syntaxe entreprenariale autant que de la planification urbaine. Architecture et " culture du projet " ont en commun d'être les cadres, matériels ou procéduraux, qui orientent nos manières d'agir. Comment dès lors ne pas s'y plier aveuglément, sans toutefois prétendre vainement s'en défaire ? Imaginer un télescopage comique entre la grammaire du pouvoir et la pensée d'un sujet critique. Par exemple, exprimer les préoccupations personnelles de l'artiste au travail en pourcentages et en données statistiques (Journal intime, 1994-2001). Drôle de combinaison qui ne montre pas une incompatibilité. Elle tourne plutôt en dérision l'étroitesse sinon l'inflexibilité de certains cadres qui donnent lieu à des situations absurdes. C'est en proposant de nouvelles configurations urbaines ou des architectures inédites que les dessins de Kristina Solomoukha grossissent malicieusement les aberrations contemporaines. Dans tous ses travaux, la critique est le résultat d'une tentative de participation et d'implication. Comme si en creux se dessinait le portrait collectif d'un sujet contemporain dépassé par des structures de pouvoir et des mécanismes économiques qui tournent à plein mais dans le vide. Qu'un projet aboutisse est gratifiant. C'est la preuve de l'efficacité de votre collaboration mais son aboutissement met un terme au projet dans lequel vous donniez enfin la pleine mesure de vos compétences. Projet débouche lui sur des produits dérivés qui le bouclent, sans l'achever. Ils renvoient à l'impulsion initiale.
livres
janvier 1900, Orléans