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Résumé:
Convaincu que l'écriture poétique est plus à même de restituer un fait architectural qu'une photographie, Michel Vernes fut un véritable écrivain d'architecture. Exceptionnelle par sa richesse, son érudition et sa qualité littéraire, son oeuvre, composée essentiellement d'articles et d'essais, est longtemps restée dispersée. Ce recueil réunit une sélection de trente-deux(...)
Project et souvenirs : Écrits sur l'art et l'architecture, la ville et le paysage
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Résumé:
Convaincu que l'écriture poétique est plus à même de restituer un fait architectural qu'une photographie, Michel Vernes fut un véritable écrivain d'architecture. Exceptionnelle par sa richesse, son érudition et sa qualité littéraire, son oeuvre, composée essentiellement d'articles et d'essais, est longtemps restée dispersée. Ce recueil réunit une sélection de trente-deux textes qui offrent enfin une vue d'ensemble sur son travail original et exigeant, éclectique et buissonnier. Convaincu que l'écriture poétique est plus à même de restituer un fait architectural qu'une photographie, Michel Vernes fut un véritable écrivain d'architecture. Exceptionnelle par sa richesse, son érudition et sa qualité littéraire, son oeuvre, composée essentiellement d'articles et d'essais, est longtemps restée dispersée. Ce recueil réunit une sélection de trente-deux textes qui offrent enfin une vue d'ensemble sur son travail original et exigeant, éclectique et buissonnier.
Théorie de l’architecture
$24.95
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Pour Michel Desvigne, Grand Prix de l'urbanisme 2011, le paysage initie la recomposition urbaine, notamment celle des grands territoires, telle sa récente intervention sur le plateau de Saclay. Il remet au goût du jour les enseignements du plus grand paysagiste américain, Frederick Law Olmsted, pour refonder une pensée du projet durable à la bonne échelle, mêlant(...)
Le paysage en préalable : Michel Desvigne, Grand Prix de l'urbanisme 2011
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Résumé:
Pour Michel Desvigne, Grand Prix de l'urbanisme 2011, le paysage initie la recomposition urbaine, notamment celle des grands territoires, telle sa récente intervention sur le plateau de Saclay. Il remet au goût du jour les enseignements du plus grand paysagiste américain, Frederick Law Olmsted, pour refonder une pensée du projet durable à la bonne échelle, mêlant l'existant et l'artifice, réunissant les conditions du lien entre hommes, espaces et fonctions. De plus, il développe un mode d intervention multiscalaire : jardins, parcs (Millenium à Londres), plans directeurs (entrée de ville à Montpellier), recompositions territoriales (rive droite de la Garonne à Bordeaux), places urbaines (à Dallas, à Anvers, à Marseille) ou ensemble des espaces publics (Lyon Confluence). Joan Busquets, Prix spécial, élargit à l'échelle européenne l'expérience barcelonaise qui a fondé l'urbanisme sur la recomposition de l'espace public, incluant les infrastructures lourdes et la création de nouvelles centralités. Deux approches qui ouvrent la voie de l'urbanisme contemporain durable, posant le paysage en préalable.
Théorie de l’urbanisme
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Dans le champ du projet, la nature est aujourd’hui sans cesse évoquée. Invoquant l’impératif environnemental et écologique, les architectes promettent de rendre la ville de demain plus accueillante et agréable, grâce à une architecture de plus en plus « végétale ». Des images séduisantes et « verdoyantes », associées à un vocabulaire étranger au champ lexical du projet,(...)
Paysages réactionnaires : nostalgie de la nature et projet néolibéral
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$19.95
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Résumé:
Dans le champ du projet, la nature est aujourd’hui sans cesse évoquée. Invoquant l’impératif environnemental et écologique, les architectes promettent de rendre la ville de demain plus accueillante et agréable, grâce à une architecture de plus en plus « végétale ». Des images séduisantes et « verdoyantes », associées à un vocabulaire étranger au champ lexical du projet, cachent l’architecture en tant qu’objet minéral. L’hégémonie et l’abus de la notion de paysage révèlent en réalité des problématiques culturelles profondes. Le retour à l’identité, aux racines, au lieu : un triptyque hégémonique chez les architectes et le grand public, qu’il convient de remettre en question. Politiquement très ambigus dans leurs implications, ces nouveaux mots d’ordres instrumentalisent une version banalisée de la beauté. C’est en ce sens que nous parlons ici de paysages réactionnaires. L’acception esthétisante et nostalgique du paysage transforme l’impératif écologiste en une idéologie dénuée de toute l’urgence politique que la question mériterait. Cet ouvrage, en dressant une histoire synthétique du « dispositif visuel » structurant une certaine idée de Modernité, entend montrer comment cette dérive contemplative du paysage est révélatrice d’une crise de la notion de projet, entendu dans son sens le plus profondément politique. Nous entendons au contraire affirmer une conception du paysage complexe et évolutive, synthétisant plusieurs questions (d’échelle, de temps, d’objectivité/subjectivité), contre toute rhétorique nostalgique de la « belle intégralité perdue ».
Théorie du paysage
La ville au plus près
$29.95
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Le palmarès des jeunes urbanistes a été créé en 2005 par le ministère en charge de l'urbanisme. Les lauréats de cette cinquième édition, urbanistes ou collectifs d'urbanistes, offrent des pistes d'innovation en termes de projets, de pratiques et de méthodes, pour répondre aux défis de la ville contemporaine.
La ville au plus près
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Le palmarès des jeunes urbanistes a été créé en 2005 par le ministère en charge de l'urbanisme. Les lauréats de cette cinquième édition, urbanistes ou collectifs d'urbanistes, offrent des pistes d'innovation en termes de projets, de pratiques et de méthodes, pour répondre aux défis de la ville contemporaine.
Paysages urbains
Entre empire et nation : les représentations de la ville de Québec et de ses environs, 1760-1833
$35.00
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Ce livre propose une explication historique de la représentation paysagère de la ville de Québec et de ses environs appuyée sur des gravures publiées à Londres au début du régime britannique. À partir des notions d'intentionnalité, de représentation et de paysage, l'auteur dans son interprétation va au-delà de la représentation objective des lieux habituellement attribuée(...)
Entre empire et nation : les représentations de la ville de Québec et de ses environs, 1760-1833
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$35.00
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Ce livre propose une explication historique de la représentation paysagère de la ville de Québec et de ses environs appuyée sur des gravures publiées à Londres au début du régime britannique. À partir des notions d'intentionnalité, de représentation et de paysage, l'auteur dans son interprétation va au-delà de la représentation objective des lieux habituellement attribuée à ces œuvres. Il soutient que l'image placée dans son contexte transmet également des sentiments, des valeurs et des croyances, et que le paysage participe à l'entreprise impériale et véhicule même des enjeux identitaires propres aux Britanniques. Se voulant rassurantes ou triomphantes, les séries d'images sous observation témoignent paradoxalement d'une certaine hantise de la maîtrise des lieux conquis. Présentée sous cet angle, la représentation de Québec et de ses environs traduit une géographie du dess(e)in et du désir et symbolise périodiquement le "droit" de la Grande-Bretagne à s'approprier et à s'assimiler le territoire canadien…
Architecture du Québec
$21.00
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Sur ces deux objets à la mode, célébrés par tout le monde, y compris par l’industrie du tourisme globalisée, la Promenade plantée de Paris et le High Line Park de Manhattan, on aura tout entendu, sauf peut-être l’essentiel : que ces dispositifs complexes sont générés par la ville elle-même et qu’elle nous communique par là quelque chose de fondamental. C’est la raison(...)
Cette ville qui nous regarde: de la Promenade plantée au High Line Park
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Sur ces deux objets à la mode, célébrés par tout le monde, y compris par l’industrie du tourisme globalisée, la Promenade plantée de Paris et le High Line Park de Manhattan, on aura tout entendu, sauf peut-être l’essentiel : que ces dispositifs complexes sont générés par la ville elle-même et qu’elle nous communique par là quelque chose de fondamental. C’est la raison pour laquelle nous devons prêter toute notre attention et intelligence à ce qui s’est installé au tournant du siècle à New York et à Paris, convaincus comme nous le sommes, qu’il y a avec ces plateformes – outre les thèmes de la marche et de la déambulation urbaine, de la flânerie et de la dérive, de la ruine et de la rouille, de la trame verte et du spectacle – tout un monde à découvrir. Michael Jakob est professeur de théorie et histoire du paysage à la Haute école du paysage, d'ingénierie et d'architecture (Hepia), à Genève.
$74.95
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L’ouvrage « Paris Haussmann » explore et analyse les caractéristiques de ce paysage homogène et polymorphe, issu d’un long processus de mutations et d’évolutions récentes. Menée à toutes les échelles, la recherche classe et compare les axes, distingue les espaces publics, organise les îlots et les immeubles selon leur géométrie actuelle, et donne à lire pour la première(...)
novembre 2018
Paris Haussmann : modèle de ville
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L’ouvrage « Paris Haussmann » explore et analyse les caractéristiques de ce paysage homogène et polymorphe, issu d’un long processus de mutations et d’évolutions récentes. Menée à toutes les échelles, la recherche classe et compare les axes, distingue les espaces publics, organise les îlots et les immeubles selon leur géométrie actuelle, et donne à lire pour la première fois les qualités du modèle haussmannien au regard des enjeux de la ville contemporaine.
$67.00
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Est-il seulement possible, aujourd'hui, de penser la ville dans la plénitude de son rapport avec le paysage? Il faut sans doute, pour cela, consentir à suspendre la primauté de l'une, la récessivité de l'autre. Voilà en tout cas l'un des chemins qu'emprunte ce livre: il explore le statut hybride, complexe, voire paradoxal de la réalité urbaine face à l'inertie des(...)
Paysages urbains
novembre 2005, Lausanne
Méandres : penser le paysage urbain
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Est-il seulement possible, aujourd'hui, de penser la ville dans la plénitude de son rapport avec le paysage? Il faut sans doute, pour cela, consentir à suspendre la primauté de l'une, la récessivité de l'autre. Voilà en tout cas l'un des chemins qu'emprunte ce livre: il explore le statut hybride, complexe, voire paradoxal de la réalité urbaine face à l'inertie des doctrines urbanistiques. Il en évoque le non-dit, puis éveille le soupçon qu'un consensus, fut-il subliminal, conditionne l'idée que nous nous faisons du territoire et contribue à diluer l'urbanisation contemporaine, à l'organiser en précepte périphérique. Or la réalité urbaine émerge différemment, en marge de telles manœuvres. En traitant de stratégies d'inversion conceptuelle et de (re)naturation, en enrichissant la lecture urbaine de la science de la complexité et en l'éloignant de son penchant structuraliste, les auteurs de cet ouvrage voudraient nous sensibiliser à la réalité plus pondérée du paysage urbain contemporain.
Paysages urbains
$32.95
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Ce sont sans doute ses contradictions qui rendent fascinante Los Angeles, l’anti-ville qui est pourtant la deuxième ville des États-Unis. Il n’est que de voir la pléiade d’auteurs qui en ont fait la toile de fond de leur roman ou de leur film. Ses défauts majeurs - le paroxysme de l’étalement urbain, une ville-banlieue impraticable sans voiture - portent paradoxalement(...)
Portrait de ville : Los Angeles
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Ce sont sans doute ses contradictions qui rendent fascinante Los Angeles, l’anti-ville qui est pourtant la deuxième ville des États-Unis. Il n’est que de voir la pléiade d’auteurs qui en ont fait la toile de fond de leur roman ou de leur film. Ses défauts majeurs - le paroxysme de l’étalement urbain, une ville-banlieue impraticable sans voiture - portent paradoxalement une part statistique de rêve : celui de la maison individuelle ; celui aussi des strass et paillettes de l’univers hollywoodien... Quand on évoque le paysage de Los Angeles, une plaine côtière entre mer et montagnes (jusqu’à plus de 3000 m), gigantesque oasis suburbaine dans le désert californien, surgissent de multiples clichés : le soleil sur l’océan Pacifique et les grandes plages de sable fin où s’ébrouent les pulpeuses coast-guards en maillot rouge des séries américaines ; les autoroutes urbaines avec leurs échangeurs qui sillonnent les quelque 100 km d’étendue de l’agglomération ; les nappes de lotissements pavillonnaires noyés dans une végétation plus ou moins dense s’étendant à l’infini au fil de tracés viaires en damiers ; l’émergence des tours de Downtown qui, à l’échelle métropolitaine, a plutôt valeur de monument que de centre-ville, ou celle de plusieurs vagues de collines entre montagne et mer. Autre paradoxe, si l’on s’intéresse plus spécialement à l’architecture : Los Angeles est à la fois un océan de banalité - celle de l’habitation ordinaire, des centres commerciaux standards et des stations-service - et un musée d’architecture de plein air où plusieurs générations de grands architectes modernes et contemporains ont laissé leur signature, notamment pour des maisons particulières, comme Frank Lloyd Wright, Rudolf Schindler et Richard Neutra, puis Charles Eames, Pierre Koenig, John Lautner, Craig Ellwood et Cesar Pelli, ou plus récemment Charles Moore, Frank Gehry, ou Morphosis... Enfin, l’apparente tranquillité des lieux est violemment contredite à divers égards. Chacun sait que la faille de San Andrea est là et qu’un jour ou l’autre surviendra un cataclysme majeur. De plus, contrairement aux idées reçues qui veulent que les conflits sociaux s’expriment sur les lieux de travail ou dans les ghettos urbains denses, Los Angeles a connu il n’y a pas si longtemps des émeutes dans des quartiers noirs pavillonnaires qui ont révélé qu’elle était sous haute tension sociale autant que géologique. Fondée à l’heure de la colonisation espagnole (1781), elle n’est alors qu’un village agricole à main d’œuvre indienne. Après l’annexion de la Californie par les États-Unis (1848), la ville se développe sous la houlette des Anglo-américains protestants, même si d’autres communautés s’y installent : Mexicains, Chinois, Noirs, puis Japonais. La ségrégation ethnico-sociale, aussi spontanée qu’affirmée, est aussi spatiale. Bien que la communauté hispanique soit depuis longtemps la plus importante (plus de 45%, principalement dans East Los Angeles), aucun maire chicano n’avait été élu depuis 1872, lorsque La n’avait encore que 6000 habitants, contre 3,8 millions aujourd’hui et plus de 15 millions pour l’aire métropolitaine. La toute récente élection (mai 2005) du nouveau maire de la ville, Antonio Villaraigosa, est donc un événement. Ancien député du parlement californien, il est le fils d’immigrés mexicains pauvres, et il a bénéficié cette fois de l’appui de la communauté noire. Parmi les dossiers les plus chauds qu’il aura à traiter figurent les tensions raciales, la pénurie de logements, la pollution et la congestion du trafic.
Théorie de l’urbanisme
$25.95
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Résumé:
Dans quelque domaine que ce soit, a fortiori avec le projet urbain, enseigner n'est pas la même chose que concevoir, pratiquer et mettre en oeuvre. Pourtant de fortes similitudes existent car dans les deux cas, il faut passer d'une échelle à l'autre, d'un espace à l'autre, d'une topographie et d'un paysage urbain à l'autre, travailler dans des contextes socio-culturels(...)
Matières de ville : projet urbain et enseignement
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$25.95
(disponible en magasin)
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Dans quelque domaine que ce soit, a fortiori avec le projet urbain, enseigner n'est pas la même chose que concevoir, pratiquer et mettre en oeuvre. Pourtant de fortes similitudes existent car dans les deux cas, il faut passer d'une échelle à l'autre, d'un espace à l'autre, d'une topographie et d'un paysage urbain à l'autre, travailler dans des contextes socio-culturels différents tout en parvenant à articuler savoirs et savoir-faire. Depuis vingt ans, les hésitations et incohérences en matière de politique urbaine menée par l'état ou les municipalités témoignent des incertitudes tant autour de l'idée de ville que de communauté de citoyens. L'enseignement du projet urbain n'a pas échappé à ces incertitudes et oscillations, toutefois il a emprunté les mêmes chemins que ceux qui ont suivis, en France et dans le monde, aussi bien les approches théoriques et doctrinaires que les pratiques pour concevoir et réaliser des programmes complexes d'espaces publics ou de paysages sur des territoires en mutation. Matières de ville relate cette vive aventure intellectuelle, au travers de points de vues complémentaires et parfois contradictoires, dont les thématiques et pédagogies plurielles exposées, marquent aujourd'hui, et dessinent pour demain, les stratégies et visions sur ce qu'est enseigner le projet urbain et le paysage pour l'architecte, l'urbaniste, le paysagiste, l'historien, le sociologue...
Théorie de l’urbanisme