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197 pages ; 22 cm.
Montréal (Québec) : Écosociété, [2017], ©2017
À nous la ville! : traité de municipalisme / Jonathan Durand Folco.
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197 pages ; 22 cm.
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Montréal (Québec) : Écosociété, [2017], ©2017
Soleil of Persian Square
$68.00
(disponible en magasin)
Résumé:
« Soleil of Persian Square »' est une recherche sur l’identité visuelle du style de vie de la diaspora iranienne à Los Angeles. Elle tente de donner un visage à cette ville fictionnelle qui a pour nom Tehrangeles, et que Hannah Darabi a découverte à travers des images associées à la musique populaire dans ses années d’adolescence. Il s’agit ici de tisser des liens entre(...)
Soleil of Persian Square
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Prix:
$68.00
(disponible en magasin)
Résumé:
« Soleil of Persian Square »' est une recherche sur l’identité visuelle du style de vie de la diaspora iranienne à Los Angeles. Elle tente de donner un visage à cette ville fictionnelle qui a pour nom Tehrangeles, et que Hannah Darabi a découverte à travers des images associées à la musique populaire dans ses années d’adolescence. Il s’agit ici de tisser des liens entre des paysages ordinaires de Los Angeles et d’Orange County — comme porteurs de traces de cette diaspora iranienne —, des portraits de ses habitants, et des objets issus de la culture populaire, tels que des pochettes de cassettes, des paroles de chansons, des captures d’écran de clips musicaux des années 1980 et 1990, ou encore des pages d’annuaires consacrés aux activités de cette diaspora. « Soleil of Persian Square » ne désigne en effet pas seulement un voyage de l’espace réel à celui de l’imaginaire, mais aussi un mode de vie et une façon de penser incarnés dans la culture populaire. Cette culture, qui se positionne aujourd’hui en opposition avec les valeurs morales du régime iranien actuel, et que les intellectuels laïques critiquent par ailleurs pour son côté « low art », a pourtant survécu, notamment à travers la musique pop de Tehrangeles. Cette musique que nous aimons « détester » n’a jamais perdu sa place dans le cœur de cette nation dispersée, et n’a cessé de faire bouger nos corps, que ce soit dans un taxi à Téhéran, chez les amis de Paris, ou dans un concert à Toronto. Il a été tiré de cet ouvrage trente exemplaires de tête, accompagnés d’une affiche et d’une cassette de Post California coproduite par GwinZegal et Anywave. Avec le soutien à l’édition du Centre national des arts plastiques.
Monographies photo
$42.95
(disponible sur commande)
Résumé:
C’est un lieu commun que de déclarer la Réforme fille de Gutenberg. Si la révolte de Luther a provoqué une immense vague de pamphlets en Allemagne, qu’en est-il de la France et de la francophonie ? Une réponse nuancée doit tenir compte de l’évolution et de la diversité du livre tout au long du XVIe siècle. En France, le livre évangélique naît modestement durant les années(...)
Le livre réformé au XVIè siècle
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$42.95
(disponible sur commande)
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C’est un lieu commun que de déclarer la Réforme fille de Gutenberg. Si la révolte de Luther a provoqué une immense vague de pamphlets en Allemagne, qu’en est-il de la France et de la francophonie ? Une réponse nuancée doit tenir compte de l’évolution et de la diversité du livre tout au long du XVIe siècle. En France, le livre évangélique naît modestement durant les années vingt de ce siècle. Durant deux décennies, la diffusion des idées nouvelles se fait de manière dispersée : plusieurs tendances se partagent le terrain et plusieurs centres typographiques, en France et ailleurs, sont sollicités par les réformateurs. Avec l’installation définitive de Calvin à Genève en 1541, la propagande religieuse par le livre prend un nouvel essor et Genève acquiert une position dominante. Après une dizaine d’années de diffusion modeste, l’imprimerie genevoise connaît une explosion sans précédent. Le début des guerres de Religion, en 1562, porte un rude coup à l’industrie typographique genevoise. Durant le dernier tiers du siècle, le livre réformé régresse malgré l’ouverture d’ateliers typographiques protestants en France même. Le mouvement réformé perd de son élan. Il se met sur la défensive sans parler de la politisation croissante des conflits confessionnels. À Genève, la perte du marché français contraint les imprimeurs à se recycler dans le livre non religieux, humaniste, juridique, médical, parfois même dans la théologie catholique. La concurrence des imprimeurs de France et des Pays-Bas reste modeste. Bref, après une période d’intense propagande du vivant de Calvin, le livre réformé prend une place modeste moins orienté vers la conquête de nouveaux adeptes que vers la polémique savante ou l’éducation religieuse. Pour la période qui va de 1520 à 1598 et pour un usage restreint à celui de la promotion et de la défense du protestantisme, cet ouvrage montre que les changements du livre sont bien réels, confirmant ainsi toute la richesse et l’intérêt de l’histoire du livre.
Histoire jusqu’à 1900
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143 pages
Arles : Actes sud, 2010.
Inde / Stefania Rössl ; [traduit de l'italien par Elise Gruau].
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143 pages
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Arles : Actes sud, 2010.
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$49.50
(disponible sur commande)
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Les sept civitates de Lyonnaise occidentale qui font l'objet de cet ouvrage (Osismes, Coriosolites, Vénètes, Riédons, Namnètes, Aulerques Diablintes et Andécaves) ne conservent que bien peu de souvenirs monumentaux de l'époque romaine. N'étaient les vestiges suggestifs et remarquablement mis en valeur de Jublains (Mayenne), les ruines de l'amphithéâtre et du «nymphée» de(...)
L'architecture romaine dans l'ouest de la Gaule
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$49.50
(disponible sur commande)
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Les sept civitates de Lyonnaise occidentale qui font l'objet de cet ouvrage (Osismes, Coriosolites, Vénètes, Riédons, Namnètes, Aulerques Diablintes et Andécaves) ne conservent que bien peu de souvenirs monumentaux de l'époque romaine. N'étaient les vestiges suggestifs et remarquablement mis en valeur de Jublains (Mayenne), les ruines de l'amphithéâtre et du «nymphée» de Gennes (Maine-et-Loire) et le sanctuaire du Haut-Bécherel, à Corseul (Côtes-d'Armor), le bilan se réduirait à quelques lambeaux d'enceintes urbaines, aux traces très arasées de quelques villae et à de maigres tronçons d'aqueducs. Encadrés par les puissantes architectures néolithiques et d'innombrables réalisations des périodes médiévale et moderne, les monuments de l'époque impériale ont longtemps eu quelque peine à satisfaire la curiosité du touriste et à susciter celle du savant. On comprend dès lors aisément que la région n'occupe qu'une place très modeste dans les synthèses, même les mieux informées, quand elle n'en est pas tout simplement absente. Cette rareté des vestiges monumentaux a ancré dans bien des esprits l'idée que ces confins occidentaux des Gaules étaient largement restés à l'écart du mouvement de romanisation, et que, pour des raisons variées - manque d'intérêt de la part du conquérant, inertie, voire défiance du provincial -, elle n'est pas devenue aussi profondément romaine que les autres secteurs de la Gaule. Les fouilles et prospections de ces dernières décennies, l'étude d'une documentation épigraphique peu abondante mais non dépourvue d'intérêt et l'inventaire des blocs d'architecture corrigent largement cette image. Si les cités de l'ouest de la Gaule n'ont jamais cédé au gigantisme, si la monumentalisation y est avant tout réservée aux villes chefs-lieux et si certains édifices font apparemment défaut aux panoplies monumentales, l'intégration à l'Empire et l'adhésion des élites aux pratiques et valeurs de la romanité trouvent, ici comme ailleurs, une traduction concrète dans l'architecture publique et privée, urbaine et rurale. C'est ce qu'entend démontrer le présent ouvrage. Il dresse d'abord un état des connaissances sur plusieurs types d'édifices, pour lesquels les données disponibles autorisent désormais l'établissement d'un bilan: les forums, les édifices religieux, les domus, les villae et les tombes monumentales. Ces études sont complétées par deux enquêtes thématiques, consacrées l'une au décor architectonique, documentation jusqu'alors pratiquement inexploitée, l'autre au financement de la parure monumentale. L'ouvrage s'achève par une tentative de bilan sur l'activité édilitaire des sept cités concernées entre la fin du Ier s. avant notre ère et la fin du IVe siècle.
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janvier 2007, Rennes
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$29.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Se risquer à prendre l'initiative d'un projet n'est pas toujours un bon calcul. Cet engagement personnel compte trop peu en face des projets de ceux qui détiennent l'autorité. Être intégré à ceux-là en revanche est une stratégie qui peut se révéler plus rentable. Ce n'est pas là une simple formalité. Soit. Mais la participation au projet se mérite parce que c'est un gage(...)
janvier 1900, Orléans
Kristina Solomoukha : les principes ne sont pas négociables
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$29.95
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Se risquer à prendre l'initiative d'un projet n'est pas toujours un bon calcul. Cet engagement personnel compte trop peu en face des projets de ceux qui détiennent l'autorité. Être intégré à ceux-là en revanche est une stratégie qui peut se révéler plus rentable. Ce n'est pas là une simple formalité. Soit. Mais la participation au projet se mérite parce que c'est un gage de réussite sinon une fin en soi. Le tout sera donc d'en être en se connectant au réseau porteur. Le projet, tel que le définissent Luc Boltanski et Eve Chiapello dans Le Nouvel Esprit du Capitalisme, est bien " l'occasion et le prétexte de la connexion ", l'occasion et le prétexte de rencontres et de discussions entre des personnes réactives, mobiles, motivées et impliquées ailleurs. Car il ne suffira pas d'un seul projet pour avoir l'air d'être à la hauteur ; il en faudra sans cesse de nouveaux, et si possible plusieurs à la fois. Ainsi la vie s'écoulera au rythme des projets auxquels vous aurez la capacité de répondre. Faute de quoi, vous donnerez l'impression de stagner. L'activité de Kristina Solomoukha consiste autant à s'engager dans des projets qu'à penser et à matérialiser les formes que prend cet engagement. Projet (1997) en représente toutes les étapes en même temps qu'il les active. Son développement et sa représentation ne font qu'un. Sa mise en œuvre correspond à l'objectif qu'est sa mise en vue. Pour être transparent dans son processus, Projet reste conforme aux rouages et à l'économie de n'importe quel projet digne de ce nom. Mais toutes les phases, comme les liens entre elles, ne sont mises en forme que par des éléments au symbolisme quasiment caricatural. Projet tient ainsi dans une forme de représentation standard : la maquette. Y figurent des constructions dont l'architecture signe la fonction avec le symbolisme " cheap " d'une ville Playmobil. Un temple à colonnades figure une banque et la banque figure la phase financement du projet : simplification de circonstance qui fait écho aux schématismes efficaces de la syntaxe entreprenariale autant que de la planification urbaine. Architecture et " culture du projet " ont en commun d'être les cadres, matériels ou procéduraux, qui orientent nos manières d'agir. Comment dès lors ne pas s'y plier aveuglément, sans toutefois prétendre vainement s'en défaire ? Imaginer un télescopage comique entre la grammaire du pouvoir et la pensée d'un sujet critique. Par exemple, exprimer les préoccupations personnelles de l'artiste au travail en pourcentages et en données statistiques (Journal intime, 1994-2001). Drôle de combinaison qui ne montre pas une incompatibilité. Elle tourne plutôt en dérision l'étroitesse sinon l'inflexibilité de certains cadres qui donnent lieu à des situations absurdes. C'est en proposant de nouvelles configurations urbaines ou des architectures inédites que les dessins de Kristina Solomoukha grossissent malicieusement les aberrations contemporaines. Dans tous ses travaux, la critique est le résultat d'une tentative de participation et d'implication. Comme si en creux se dessinait le portrait collectif d'un sujet contemporain dépassé par des structures de pouvoir et des mécanismes économiques qui tournent à plein mais dans le vide. Qu'un projet aboutisse est gratifiant. C'est la preuve de l'efficacité de votre collaboration mais son aboutissement met un terme au projet dans lequel vous donniez enfin la pleine mesure de vos compétences. Projet débouche lui sur des produits dérivés qui le bouclent, sans l'achever. Ils renvoient à l'impulsion initiale.
livres
janvier 1900, Orléans