$16.95
(disponible en magasin)
Résumé:
Les crises qui secouent notre époque se vivent de la manière la plus urgente au cœur de nos villes. Face aux dérèglements climatiques, à la crise du logement et de l’itinérance, aux enjeux de mobilité et d’accès à la santé, les citoyen·ne·s se tournent désormais vers leurs élu·e·s de proximité. Sauf que les municipalités du Québec, historiquement soumises à l’autorité du(...)
Nos villes au front: Repenser la gouvernance locale pour faire face aux crises
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Résumé:
Les crises qui secouent notre époque se vivent de la manière la plus urgente au cœur de nos villes. Face aux dérèglements climatiques, à la crise du logement et de l’itinérance, aux enjeux de mobilité et d’accès à la santé, les citoyen·ne·s se tournent désormais vers leurs élu·e·s de proximité. Sauf que les municipalités du Québec, historiquement soumises à l’autorité du gouvernement québécois, ne disposent ni du pouvoir législatif ni des ressources financières pour véritablement répondre à ces besoins et anticiper l’avenir. François William Croteau démontre que seule une plus grande autonomie des villes pourrait leur permettre de tirer parti de l’intelligence collective et de renforcer leur résilience.
Théorie de l’urbanisme
$17.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Année après année, la campagne française disparaît sous la ville : la terre fertile se raréfie, les espaces naturels se morcellent, la ville s’éparpille et se cloisonne, l’automobile s’impose comme unique lien social. Le phénomène, connu sous le nom d’étalement urbain, ne résulte pas seulement de la crise du logement et du désir d’accession à la propriété. La ville(...)
La tentation du bitume : où s'arrêtera l'étalement urbain ?
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Résumé:
Année après année, la campagne française disparaît sous la ville : la terre fertile se raréfie, les espaces naturels se morcellent, la ville s’éparpille et se cloisonne, l’automobile s’impose comme unique lien social. Le phénomène, connu sous le nom d’étalement urbain, ne résulte pas seulement de la crise du logement et du désir d’accession à la propriété. La ville étalée se nourrit, en France comme ailleurs, d’une économie opulente et d’une société qui valorise le bonheur individuel, à court terme de préférence. Autrement dit, nous sommes tous responsables. Les auteurs brossent dans cet essai un portrait sans concession de la bataille inégale qui se livre entre la soif de bitume et les rares garde-fous susceptibles de contrer le phénomène. Édition de poche qui reprend intégralement le texte publié en 2012 afin de maintenir disponible un livre salué pour sa pertinence et sa pédagogie.
Théorie de l’urbanisme
$33.95
(disponible en magasin)
Résumé:
Construire un trois-pièces pour moins d’un million d’anciens francs (environ 23 000 €). Tel est l’objectif de l’opération Million lancée en France en 1954 par le gouvernement ; la crise du logement est alors à son apogée. L’agence de Georges Candilis, Alexis Josic et Shadrach Woods remporte le concours organisé l’année suivante et construira près de 4 300 logements sur(...)
Grands ensembles en héritage: l'opération Million de Candilis, Josic et Woods (1954-2024)
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$33.95
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Construire un trois-pièces pour moins d’un million d’anciens francs (environ 23 000 €). Tel est l’objectif de l’opération Million lancée en France en 1954 par le gouvernement ; la crise du logement est alors à son apogée. L’agence de Georges Candilis, Alexis Josic et Shadrach Woods remporte le concours organisé l’année suivante et construira près de 4 300 logements sur vingt-huit sites. Tour à tour enquête et plaidoyer, l’ouvrage de Korinna Zinovia Weber relate cet épisode majeur et méconnu de la construction des années d’après-guerre et milite pour que les grands ensembles soient reconnus en tant que patrimoine architectural. Que reste-t-il de l’opération Million soixante-dix ans après sa mise en oeuvre ? Partant du terrain, l’autrice dresse un état des lieux, fait le relevé des bâtiments, ausculte leur matérialité, retrace leurs transformations successives : rénovations plus ou moins lourdes, démolitions partielles ou totales. Elle revient sur la genèse de l’opération et souligne la pertinence des choix architecturaux d’origine : organisation des bâtiments, typologie des logements, innovations constructives. Sensible et engagée, Korinna Zinovia Weber nous conduit au cœur de l’opération Million à la rencontre de toutes ses parties prenantes, sans oublier les habitants mobilisés pour sauvegarder leurs lieux de vie face aux intérêts financiers et politiques. Dénuée de tout fétichisme pour l’architecture moderne, l’autrice construit une connaissance utile et opératoire sur les grands ensembles, et nous invite à réapprendre à les transformer et à les habiter dans le contexte de ce premier quart du XXIe siècle confronté à une double crise, du logement et du climat.
Logements collectifs
$59.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Cet ouvrage retrace l'histoire méconnue d'un secteur du logement populaire à Paris : les «garnis», à savoir les maisons et hôtels meublés à destination des salariés modestes et des ouvriers. Certains drames de l'année 2005 (incendie de l'hôtel Paris-Opéra : 25 morts) ont de nouveau attiré l'attention sur les rares hôtels meublés qui subsistent aujourd'hui, vétustes et(...)
Théorie de l’urbanisme
juin 2007, Grâne
Une chambre en ville : hôtels meublés et garnis à Paris, 1860-1990
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$59.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Cet ouvrage retrace l'histoire méconnue d'un secteur du logement populaire à Paris : les «garnis», à savoir les maisons et hôtels meublés à destination des salariés modestes et des ouvriers. Certains drames de l'année 2005 (incendie de l'hôtel Paris-Opéra : 25 morts) ont de nouveau attiré l'attention sur les rares hôtels meublés qui subsistent aujourd'hui, vétustes et surpeuplés, signe de la pénurie de logements pour les plus démunis. Or, jadis, ces établissements pullulaient dans Paris : près de 10000 logeurs en 1880, et près de 200 000 personnes logées ; au tout début des années 1930, avant la crise économique, près de 350 000 Parisiens (11 % de la population de la capitale !) ne vivaient pas dans leurs meubles. Le migrant d'origine provinciale ou étrangère venant à Paris pour travailler s'installait tout naturellement à l'hôtel. Avoir une chambre en ville, c'était le gage banal d'une indépendance minimum. Cette fonction de sas valait surtout pour les hommes; les femmes, à leur arrivée à Paris, occupaient plutôt des emplois où elles étaient nourries et logées. Avec la crise économique des années 1930, le secteur commença un lent déclin. Au moment de la crise du logement des années 1950, l'hôtel meublé retrouva un second souffle. Le déclin s'accéléra ensuite dans les années 1960. Le garni était devenu dans l'opinion et pour l'État synonyme de taudis et de logement insalubre, destructeur de la famille et de la morale et une partie de ses habitants put accéder au logement social de masse. Subsistèrent longtemps des formes particulières d'accueil des plus pauvres : vieilles maisons insalubres du centre et des faubourgs, bidonvilles, foyers de travailleurs, cités de transit... Rôle rempli auparavant - et souvent infiniment mieux - par le garni. Maintenus en vie comme substitut dérisoire au logement social déficient, ou bien transformés en «résidences sociales», les hôtels sont aujourd'hui bien loin de leur rôle ancien d'habitat de transition entre migration et intégration en ville. Leur survivance, signe de la misère des temps, est aussi le gage du maintien des plus pauvres dans la ville.
Théorie de l’urbanisme
livres
$24.00
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Résumé:
Peut-être fallait-il un choc tel que la crise écologique actuelle pour nous amener à modifier nos modes de vie et nos façons de penser. Et quel choc! Réchauffement climatique, pollution de l’air, des eaux et des sols, disparition d’espèces, la situation semble de plus en plus inquiétante pour notre survie et celle de la planète. Nombreux sont ceux et celles qui craignent(...)
Écodesign : des solutions pour la planète : l'aventure du New Alchemy Institute
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$24.00
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Résumé:
Peut-être fallait-il un choc tel que la crise écologique actuelle pour nous amener à modifier nos modes de vie et nos façons de penser. Et quel choc! Réchauffement climatique, pollution de l’air, des eaux et des sols, disparition d’espèces, la situation semble de plus en plus inquiétante pour notre survie et celle de la planète. Nombreux sont ceux et celles qui craignent maintenant qu’à moins d’un changement de cap rapide et résolu, les effets destructeurs des activités humaines sur la biosphère ne soient irréversibles. Pourtant, il existe des alternatives viables pour réduire notre empreinte écologique. Depuis des décennies, des chercheurs de divers horizons observent, inventent et testent différents moyens de permettre aux humains de combler leurs besoins de nourriture, d’énergie, de logement, tout en respectant leur environnement. Nancy J. Todd est l’une de ces pionnières. Comment utiliser les déchets pour rendre une terre à nouveau fertile, quels matériaux de construction peuvent se fondre dans l’environnement, comment se servir de l’énergie solaire et éolienne? Leurs observations et leur travail empirique sont guidés par ce principe intangible : la nature renferme une multitude de solutions ; à l’humain d’être à l’écoute et de s’en servir dans son activité quotidienne. Ce récit, empreint d’humour et de sensibilité, fait vivre la naissance de l’écodesign, 40 ans de découvertes inspirées par les forces étonnantes de la nature. Ce livre montre qu’il est possible de changer notre impact sur la planète et donne des outils pour y arriver. Reste à savoir pourquoi nous ne passons pas à l’action... ...si une poignée d’individus comme les membres du New Alchemy et d’Ocean Arks ont réussi à apprendre à protéger et restaurer la Terre, imaginez ce qui pourrait se produire si des communautés, des États, des pays et des alliances internationales consacraient leurs énergies à la préservation de la vie sur la planète.
livres
janvier 2007, Montréal
Architecture écologique
$45.95
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Résumé:
En 1956, face à la question cruciale du logement pour les plus démunis, Jean Prouvé propose, en réponse à l'appel de l'abbé Pierre lancé deux ans auparavant, sa Maison des jours meilleurs, Cet habitat temporaire - composé de 3 pièces, cuisine et sanitaires - est construit à base d'éléments usinés en amont. Malheureusement, le projet restera à l'état de prototype. En(...)
Habiter le temporaire : la nouvelle maison des jours meilleurs
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$45.95
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Résumé:
En 1956, face à la question cruciale du logement pour les plus démunis, Jean Prouvé propose, en réponse à l'appel de l'abbé Pierre lancé deux ans auparavant, sa Maison des jours meilleurs, Cet habitat temporaire - composé de 3 pièces, cuisine et sanitaires - est construit à base d'éléments usinés en amont. Malheureusement, le projet restera à l'état de prototype. En posant comme sujet de sa sixième édition "Concevoir une unité d'habitation temporaire, écopensée et économe", le concours Mini Maousse s'inscrit à cet endroit précis où se croisent, d'une part, la conscience d'une grave crise sociale et humanitaire et, d'autre part, une problématique très stimulante pour les futurs concepteurs, pour faire renaître la nouvelle Maison des jours meilleurs.
Architecture expérimentale
livres
Roubaix la fierté retrouvée
$37.95
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Résumé:
Au début des années 1980, Roubaix aurait pu mourir, quand la crise s'est jetée sur elle à coups de boutoir qui avaient noms délocalisation, paupérisation et insécurité. C'était sans compter avec le dynamisme de la ville du textile triomphant, inventrice de la vente par correspondance, de la grande distribution, du 1 % logement et de la gestion paritaire. Au début des(...)
Roubaix la fierté retrouvée
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$37.95
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Résumé:
Au début des années 1980, Roubaix aurait pu mourir, quand la crise s'est jetée sur elle à coups de boutoir qui avaient noms délocalisation, paupérisation et insécurité. C'était sans compter avec le dynamisme de la ville du textile triomphant, inventrice de la vente par correspondance, de la grande distribution, du 1 % logement et de la gestion paritaire. Au début des années 2000, Roubaix crée l'événement en établissant la zone franche ka pus dynamique de France, en réhabilitant son patrimoine industriel oublié, en ouvrant avec succès un musée dans une ancienne piscine Art déco, en inventant un modèle d'intégration. Il a fallu quinze ans pour renverser la vapeur, la volonté des politiques, mais avant tout, celle des Roubaisiens, avec leur cœur gros comme ça et leur envie d'entreprendre : artistes, travailleurs sociaux, entrepreneurs ou militants, qui ont osé au moment où personne n'y croyait plus. Parmi eux, les 28 personnalités de cet ouvrage, qui tracent le portrait d'une ville-monde à la fierté retrouvée.
livres
janvier 2007, Paris
$37.95
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Résumé:
Depuis la création des grands ensembles jusqu'à leur évolution à l'aune des mutations profondes qui animent la société française pendant les Trente Glorieuses, voici une histoire culturelle de l'ensemble du logement social en France, communément appelé HLM. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l'heure est à la reconstruction. Il faut remédier à la grave crise du(...)
Le temps des HLM 1945-1975 : la saga urbaine des Trente Glorieuses
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$37.95
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Résumé:
Depuis la création des grands ensembles jusqu'à leur évolution à l'aune des mutations profondes qui animent la société française pendant les Trente Glorieuses, voici une histoire culturelle de l'ensemble du logement social en France, communément appelé HLM. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l'heure est à la reconstruction. Il faut remédier à la grave crise du logement qui sévit en France et loger le maximum de Français en un temps record pour des sommes modiques. L'idée des grands ensembles est née. Les habitants découvrent alors l'habitat collectif, la vie en barres. Ces pionniers d'un nouveau genre témoignent d'abord de l'enthousiasme pour cette nouvelle façon d'habiter, fort éloignée de l'éternel rêve pavillonnaire français. Vient ensuite le temps des premières interrogations : Comment créer lien social et vie culturelle dans ces blocs de béton déshumanisés? Que faire pour pallier le manque d'équipements collectifs et de transports en commun? Si le milieu des années 1970 coïncide avec le temps de la rénovation urbaine, se programme déjà la fin des grands ensembles même si le souhait politique d'en finir ne s'accorde pas avec la volonté des habitants de donner une âme à leurs cités et de contrer ainsi l'image péjorative qui leur est allouée. Les projets architecturaux et les politiques des pouvoirs publics sont bien sûr ici décortiqués, mais cet ouvrage fait avant tout la part belle aux habitants, à leur mode de vie et à leurs attentes. La construction des grands ensembles est un épisode décisif de notre histoire contemporaine et ce type d'habitat collectif, témoin de l'évolution des mœurs, a marqué en profondeur notre champ culturel. Il est indispensable aujourd'hui d'en proposer une analyse historique.
Théorie de l’urbanisme
livres
$75.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Autour de quelques photographes dits «humanistes» devenus très célèbres (Izis, Boubat, Brassaï, Doisneau, Ronis...), plus d'une soixantaine de reporters-illustrateurs de grand talent ont œuvré et méritent d'être à l'honneur. Qu'ils se nomment Edith Gérin, Janine Niépce ou Sabine Weiss, Marcel Bovis, René-Jacques, Jean Dieuzaide, Jean Marquis, Jean-Philippe Charbonnier,(...)
Théorie de la photographie
décembre 2006, Paris
La photographie humaniste, 1945-1968 : autour d'Izis, Boubat. Brassaï, Doisneau, Ronis...
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$75.95
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Résumé:
Autour de quelques photographes dits «humanistes» devenus très célèbres (Izis, Boubat, Brassaï, Doisneau, Ronis...), plus d'une soixantaine de reporters-illustrateurs de grand talent ont œuvré et méritent d'être à l'honneur. Qu'ils se nomment Edith Gérin, Janine Niépce ou Sabine Weiss, Marcel Bovis, René-Jacques, Jean Dieuzaide, Jean Marquis, Jean-Philippe Charbonnier, Léon Herschtritt, Jean-Louis Swiners, ou encore Eric Schwab, André Papillon..., ils ont en commun d'avoir nourri de leurs images le paysage visuel des Français de l'après-guerre. La Bibliothèque nationale de France peut se prévaloir de conserver la mémoire de bon nombre de ces auteurs, grâce au dépôt légal ainsi qu'à des dons généreux, auxquels elle rend hommage dans une exposition montrant les différents volets de leur activité et de leur production. On découvrira ainsi de nombreuses pièces illustrées par leurs soins ouvrages et magazines, mais aussi affiches, calendriers, agendas, dossiers pédagogiques, présents dans les fonds de la Bibliothèque. Les photographes «humanistes» ont contribué à construire une iconographie nationale, avec ses lieux pittoresques et ses archétypes sociaux mais aussi à dénoncer les réalités de l'époque - misère des banlieues, crise du logement, menaces de guerre - et à relayer luttes et espoirs de l'après-guerre. Grâce à leur participation à de grandes revues internationales (Life, Camera, Du...), ils ont aussi élargi l'horizon de leurs contemporains. Enfin ils ont en commun d'avoir développé «un imaginaire d'après nature» - selon l'expression d'Henri Cartier-Bresson - que l'on peut également qualifier de «réalisme poétique». La figure de l'homme occupe une place centrale dans cette dimension onirique et merveilleuse du réel, révélée par la photographie à l'occasion de riches coopérations avec les écrivains, poètes ou chansonniers de l'époque. Ce sont ces différents aspects que l'exposition et l'ouvrage qui l'accompagne se proposent d'aborder, afin d'élargir et d'enrichir le point de vue actuel sur la photographie «humaniste», trop souvent restreinte à quelques noms et quelques œuvres.
livres
décembre 2006, Paris
Théorie de la photographie