Lemoyne : Hors jeu
$59.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Sous la direction d’Eve-Lyne Beaudry, conservatrice de l’art contemporain (1950-2000) du musée national des beaux-arts du Québec, ce livre de 280 pages, largement illustré, contient 5 essais, un entretien avec Ken Dryden et une chronologie détaillée qui n’avait, à ce jour, jamais été compilée. On dit de Serge Lemoyne (1941-1998) qu’il a ébranlé la scène artistique(...)
Lemoyne : Hors jeu
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Prix:
$59.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Sous la direction d’Eve-Lyne Beaudry, conservatrice de l’art contemporain (1950-2000) du musée national des beaux-arts du Québec, ce livre de 280 pages, largement illustré, contient 5 essais, un entretien avec Ken Dryden et une chronologie détaillée qui n’avait, à ce jour, jamais été compilée. On dit de Serge Lemoyne (1941-1998) qu’il a ébranlé la scène artistique québécoise et contribué de manière significative à une remise en question fondamentale du langage des arts visuels dans le Québec des années 1960, une période parmi les plus effervescentes de notre histoire de l’art. Instigateur des premiers happenings au Québec, à l’instar des artistes new-yorkais dont il admirait le travail, il adopte l’irrévérence esthétique que lui inspirent les Néo-dadaïstes, s’aventure dans l’univers « pop » et s’intéresse à l’art de participation et à la création collective. C’est avec conviction que, sa vie durant, il se porte à la défense de l’accessibilité de l’art pour tous et s’évertue à mieux faire reconnaître le travail des artistes visuels du Québec qu’il considérait comme laissés pour compte. Sa foi était grande envers l’art comme facteur d’émancipation sociale et comme élément fondateur d’une identité québécoise forte et rassembleuse. Si une part considérable de sa production s’est développée autour des éléments de son propre quotidien, il se plaisait aussi à explorer ce qui rassemblait les gens, pour rejoindre un pan plus vaste de la société et faire tomber certaines divisions : la représentation des héros nationaux du Canadien de Montréal – rare trait d’union entre les anglophones et les francophones de l’époque – permet de réunir, encore aujourd’hui, les diverses tranches de la société autour de l’appréciation des arts visuels.
Art canadien
$56.95
(disponible en magasin)
Résumé:
Parmi les stigmatisations formulées par l'Internationale situationniste, l'urbanisme occupe une place spécifique en tant que forme spatiale de domination de la marchandise ou comme décor naturel du capitalisme. Ses diatribes et attaques constituent une véritable déclaration de guerre contre l'idéologie dominante du fonctionnalisme et du modernisme, entendue comme voie(...)
février 2008, Paris
Le grand jeu à venir: textes situationnistes sur la ville
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(disponible en magasin)
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Parmi les stigmatisations formulées par l'Internationale situationniste, l'urbanisme occupe une place spécifique en tant que forme spatiale de domination de la marchandise ou comme décor naturel du capitalisme. Ses diatribes et attaques constituent une véritable déclaration de guerre contre l'idéologie dominante du fonctionnalisme et du modernisme, entendue comme voie royale du progrès économique et social. Nulle part mieux que dans les transformations de l'art de bâtir, la prégnance de cette nouvelle doxa n'est manifeste. En dépit de quelques travestissements culturels, l'architecture renoue avec sa fonction politique d'inscrire la division de la société dans l'espace, imposant à chaque classe sociale sa place.
livres
Description:
336 pages : illustrations, plans ; 20 cm.
Lausanne : Presses polytechniques et universitaires romandes, [2016], ©2016
Une topologie du quotidien / Georges Teyssot.
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Exemplaires:
Description:
336 pages : illustrations, plans ; 20 cm.
livres
Lausanne : Presses polytechniques et universitaires romandes, [2016], ©2016
livres
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237 pages ; 24 cm
New York : Methuen, 1985.
Carnival and theater : plebeian culture and the structure of authority in Renaissance England / Michael D Bristol.
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237 pages ; 24 cm
livres
New York : Methuen, 1985.
De la ville et du citadin
$26.95
(disponible sur commande)
Résumé:
Ce deuxième titre de la collection "Savoirs à l'oeuvre" tente de situer l'homme au sein de la «déraison urbaine». La ville est au centre de toutes les mutations de la société. Aujourd'hui s'y élabore une nouvelle géographie, universelle, où se trouve mis en jeu, pour le meilleur et pour le pire, ce qui rend possible et pensable une vie collective : le social, la(...)
Théorie de l’urbanisme
avril 2003, Marseille
De la ville et du citadin
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$26.95
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Résumé:
Ce deuxième titre de la collection "Savoirs à l'oeuvre" tente de situer l'homme au sein de la «déraison urbaine». La ville est au centre de toutes les mutations de la société. Aujourd'hui s'y élabore une nouvelle géographie, universelle, où se trouve mis en jeu, pour le meilleur et pour le pire, ce qui rend possible et pensable une vie collective : le social, la politique, la civilité. Quand peut-on dire qu'on «habite» une ville ? Y en a-t-il un «dehors» ? Géographes et philosophes réfléchissent ici aux moyens de rendre aux citadins la maîtrise de leur destin urbain, en parcourant tout à la fois l'idée et la réalité de la ville, l'histoire d'une discipline -l'urbanisme-, les regards littéraires et cinématographiques sur la complexité urbaine et les modes d'appropriation individuels confrontés à l'échelle de la «foule». En somme, une invitation à participer à l'invention d'une nouvelle manière d'«être ensemble» dans la ville. Textes de : Philippe Cardinali, Jacques Lévy, Olivier Mongin, Thierry Paquot, Marcel Roncayolo.
Théorie de l’urbanisme
La déshumanisation de l'art
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"Si le nouvel art n'est pas intelligible à tout le monde, cela signifie que ses ressorts ne sont pas ceux du genre humain. Ce n'est pas un art pour les hommes en général, mais pour une classe très particulière d'hommes qui, même s'ils ne valent pas plus que les autres, sont de toute évidence différents." Jean Cassou disait d'Ortega y Gasset qu'il ne craignait pas la(...)
La déshumanisation de l'art
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"Si le nouvel art n'est pas intelligible à tout le monde, cela signifie que ses ressorts ne sont pas ceux du genre humain. Ce n'est pas un art pour les hommes en général, mais pour une classe très particulière d'hommes qui, même s'ils ne valent pas plus que les autres, sont de toute évidence différents." Jean Cassou disait d'Ortega y Gasset qu'il ne craignait pas la frivolité, voire la recherchait. Ce n'est pas le moindre des paradoxes, quand on lit ce texte-ci, mélange de critique "sérieuse" et de fascination-répulsion pour un art désormais futile aux yeux de l'auteur. Ortega y Gasset s'attaque en effet à une tendance de l'art de l'époque (ce texte est publié pour la première fois en 1925) à éliminer la figure humaine de ses sujets au point de devenir autocritique, voire un jeu entre artistes. Cela conduit à le rendre impopulaire. Dégagé du sérieux et de tout pathos, l'art perd sa transcendance au profit de la superficialité, du divertissement. Il est désormais élitiste, il exclut les masses. Il est le symptôme d'une crise culturelle, qui annonce la décadence d'une société de plus en plus tournée vers le spectacle. En effet, l'art finit par se vider de tout contenu: "Tout comme dans un système de miroirs qui se réfléchissent indéfiniment les uns dans les autres, aucune forme n'est la dernière. Toutes sont moquées et réduites à pure image."
Théorie de l’art
$44.95
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Philosophe, sociologue, Jean Baudrillard fut dès les années 70 un penseur de la « dissolution du réel », que la société de consommation aurait substitué par une série de « simulacres ». Connu pour ses analyses de la postmodernité, il décrit la façon dont l’image (d’un objet, d’une œuvre) apparaît comme plus réelle que l’original. Quel rapport le philosophe a-t-il(...)
Baudrillard et le monstre (l'architecture)
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Philosophe, sociologue, Jean Baudrillard fut dès les années 70 un penseur de la « dissolution du réel », que la société de consommation aurait substitué par une série de « simulacres ». Connu pour ses analyses de la postmodernité, il décrit la façon dont l’image (d’un objet, d’une œuvre) apparaît comme plus réelle que l’original. Quel rapport le philosophe a-t-il entretenu avec [le monstre qu’est] l’architecture, lui qui, en 2013, a coécrit, avec Jean Nouvel « Les objets singuliers, Architecture et philosophie » et publié « Vérité ou radicalité de l’architecture »? Cet ouvrage au ton incisif entreprend d’y répondre au travers d’exemples d’une architecture qui s’affranchit de la nécessité, et de la fatalité du solide – de Disneyland à Europacity – et fait le jeu des starchitectes.
Théorie de l’architecture
$12.95
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Résumé:
La rayure et les étoffes rayées sont longtemps restées en Occident des marques d'exclusion ou d'infamie. En furent notamment vêtus tous ceux qui, à un titre ou à un autre, se situaient aux marges de la société chrétienne ou bien en dehors : jongleurs, musiciens, bouffons, bourreaux, prostituées, condamnés, hérétiques, juifs, musulmans ainsi que, dans les images, le Diable(...)
L'étoffe du diable : une histoire des rayures et des tissus rayés
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$12.95
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Résumé:
La rayure et les étoffes rayées sont longtemps restées en Occident des marques d'exclusion ou d'infamie. En furent notamment vêtus tous ceux qui, à un titre ou à un autre, se situaient aux marges de la société chrétienne ou bien en dehors : jongleurs, musiciens, bouffons, bourreaux, prostituées, condamnés, hérétiques, juifs, musulmans ainsi que, dans les images, le Diable et toutes ses créatures. Sans faire aucunement disparaître ces rayures très négatives, l'époque romantique voit apparaître une nouvelle forme de rayures, positives et liées aux idées nouvelles de liberté, de jeunesse, de plaisir et de progrès. Dans les sociétés contemporaines, ces deux types de rayures cohabitent : celles des vêtements de prisonniers, de la pègre, des lieux dangereux et mortifères, et celles du jeu, du sport, de l'hygiène, de la mer et de la plage.
Création de mode
livres
Description:
viii, 208 pages ; 23 cm
Lincoln : Bison Books, 2013., ©2012
Reservation "capitalism" : economic development in Indian country / Robert J. Miller ; foreword by Tom Daschle.
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viii, 208 pages ; 23 cm
livres
Lincoln : Bison Books, 2013., ©2012
$34.95
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Résumé:
Questionnant les grandes théories critiques (Marx, Ernst Bloch, Guy Debord), s’appuyant sur l’anthropologie, poussant des incursions du côté de la philosophie (Aristote, Agamben, Simondon), invoquant après les romantiques et les surréalistes la fonction vitale de l’imagination créatrice, « L’Homme sans horizon » dessine les lignes de fuite qui permettent de rouvrir un(...)
L'homme sans horizon, matériaux pour l'utopie
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$34.95
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Questionnant les grandes théories critiques (Marx, Ernst Bloch, Guy Debord), s’appuyant sur l’anthropologie, poussant des incursions du côté de la philosophie (Aristote, Agamben, Simondon), invoquant après les romantiques et les surréalistes la fonction vitale de l’imagination créatrice, « L’Homme sans horizon » dessine les lignes de fuite qui permettent de rouvrir un horizon utopique. Au-delà de l’utopie libérale, aujourd’hui épuisée, de l’utopie sociale qui a été défigurée par les régimes totalitaires, la seule issue possible est de reprendre et faire triompher le rêve ancestral de société sans classe ni État. Aujourd’hui où la survie de l’espèce est en jeu, c’est cette espérance qu’il s’agit de réaliser sous peine de voir l’humanité s’effondrer dans la barbarie.
Théorie/ philosophie