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How, in a turbulent century, was Le Corbusier able to reinvent himself at least five times? How was he able to become the Picasso (or Duchamp) of architecture? How was he able to produce work in a regional Art Nouveau mode, then become a leader of the Modern Movement and International Style, then switch to primitive materials and Brutalism before pre-empting(...)
Architecture landscape urbanisme 9 : Le Corbusier & the architecture of reinvention
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How, in a turbulent century, was Le Corbusier able to reinvent himself at least five times? How was he able to become the Picasso (or Duchamp) of architecture? How was he able to produce work in a regional Art Nouveau mode, then become a leader of the Modern Movement and International Style, then switch to primitive materials and Brutalism before pre-empting Post-Modernism through Ronchamp and Chandigarh, and pre-empting High-Tech and Complexity Architecture through the Centre Le Corbusier and the Philips Pavilion? How?’ These transformations were helped along by the way Le Corbusier was able to cross ideas from one medium to another. A work of architecture could be considered as a written text, a drawing, a model, a photograph, a sculpture, a painting or a detailed set of plans. Each medium challenged, clarified and refined the idea from different viewpoints. Each medium made use of different neurons, of different parts of his mind. The result? Continuous creation from different perspectives, a continual reinvention of architecture. This book brings together leading scholars to explore Le Corbusier’s tactics of self-reinvention, his relationship to the artistic avant-garde and his work as a multimedia practitioner. It also contains an English-language edition of Le Corbusier's 'Poème de l’Angle Droit', complete with beautiful colour lithographs. Authors include Tim Benton, Peter Carl, Hilde Heynen, Charles Jencks, Mohsen Mostafavi, Daniel Naegele, Fernando Pérez Oyarzun, and Stanislaus von Moos.
Architecture, monographies
La couleur dans la ville
$59.95
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Dans les décennies d'après-guerre, la couleur semblait avoir déserté la ville. Aujourd'hui, elle retrouve pleinement son droit de cité et investit aussi bien les immeubles de logement que les bureaux, les équipements, et même les infrastructures de transport. Les architectes et les urbanistes la considèrent comme indispensable à la compréhension de l'espace urbain et à la(...)
La couleur dans la ville
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Dans les décennies d'après-guerre, la couleur semblait avoir déserté la ville. Aujourd'hui, elle retrouve pleinement son droit de cité et investit aussi bien les immeubles de logement que les bureaux, les équipements, et même les infrastructures de transport. Les architectes et les urbanistes la considèrent comme indispensable à la compréhension de l'espace urbain et à la qualité de vie des habitants, susceptible d'enrichir l'environnement en lui apportant lisibilité, rythme et perspective. Cet ouvrage dresse un panorama historique de la couleur dans Le milieu urbain au cours du XXe siècle, avec des éclairages sur certains mouvements emblématiques tels que l'Art nouveau, l'avant-garde russe, le modernisme ou L'art cinétique. Il décrit ensuite les outils et les méthodes - gammes, palettes, nuanciers - qui permettent d'intervenir dans le paysage urbain avec rigueur et subtilité. Un certain nombre d'expériences, menées dans les domaines de La restauration chromatique du patrimoine urbain et de l'architecture contemporaine, retracent les démarches exemplaires de certains concepteurs. Depuis Jean-Philippe Lenclos, qui parcourt le monde pour constituer des " atlas de la couleur ", au Centre de la couleur de Moscou, qui œuvre à l'échelle de la métropole tout entière, et jusqu'aux architectes comme Jean Nouvel ou Christian de Portzamparc, qui utilisent la couleur (et de plus en plus la couleur-lumière) comme un matériau à part entière, nombreux sont les acteurs qui montrent que la question de la couleur dans nos villes, loin d'être marginale, est aujourd'hui devenue centrale.
$24.99
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C'est à Berlin, en 1926, que le réalisateur russe S. M. Eisenstein découvre l'utilisation architecturale du verre et la place qu'il occupe dans un certain nombre d'utopies de réconciliation sociale (Gropius, Mies van der Rohe, Le Corbusier…). C'est alors qu'il envisage de réaliser Glass House, un projet inabouti dont il ne reste aujourd'hui que ses notes de travail,(...)
Glass house: du projet de film au film comme projet S. M. Eisenstein
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C'est à Berlin, en 1926, que le réalisateur russe S. M. Eisenstein découvre l'utilisation architecturale du verre et la place qu'il occupe dans un certain nombre d'utopies de réconciliation sociale (Gropius, Mies van der Rohe, Le Corbusier…). C'est alors qu'il envisage de réaliser Glass House, un projet inabouti dont il ne reste aujourd'hui que ses notes de travail, publiées dans cet ouvrage. Un projet pourtant tenté à Hollywood lorsqu'Eisenstein imagina la conception d'un gratte-ciel en verre où tous seraient soumis au regard de tous, où chacun serait renvoyé à sa solitude par soumission aux valeurs capitalistes, et où la question de l'aliénation sociale se mêlerait à celle du «trouble dans le genre» au travers de personnages venus tout droit de la tradition berlinoise du cabaret. Charlie Chaplin, fasciné par cette anti-utopie où lumière et transparence aboutissent à la coercition et à la mort, avait alors soutenu le réalisateur russe. Ce n'est donc pas un hasard si, dans Le Dictateur, Hinckel avoue à Napaloni être amateur de «moderne» et vouloir mettre partout des parois et plafonds en verre. Mais Glass House fut également un projet de cinéma : un cinéma échappant aux lois de la pesanteur, à l'héritage de la peinture naturaliste et à l'architecture traditionnelle, qui conduisit Eisenstein à une réflexion esthétique sur les thèmes du polycentrisme et de l'hétérotopie – thèmes que l'art moderne et contemporain ne cesseront jamais de travailler.
À nous la ville!
$22.00
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Les villes peuvent-elles changer le monde ? Considérées comme les espaces où se joueront en grande partie les luttes politiques du XXIe siècle, les villes tardent pourtant à susciter l’attention qu’elles méritent dans les cercles progressistes. Pour Jonathan Durand Folco, la gauche doit urgemment investir cet espace politique qui est au centre des enjeux sociaux,(...)
À nous la ville!
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Les villes peuvent-elles changer le monde ? Considérées comme les espaces où se joueront en grande partie les luttes politiques du XXIe siècle, les villes tardent pourtant à susciter l’attention qu’elles méritent dans les cercles progressistes. Pour Jonathan Durand Folco, la gauche doit urgemment investir cet espace politique qui est au centre des enjeux sociaux, économiques et écologiques du XXIe siècle et qui possède un potentiel de transformation inédit. Prenant appui sur de solides bases théoriques, nourri des expériences d’ici et d’ailleurs, l’auteur expose les contours d’une nouvelle stratégie politique : le municipalisme. Il montre que la ville est au cœur des contradictions du capitalisme avancé, qu’une tension de plus en plus forte s’exprime entre le développement de la « ville néolibérale » et les revendications du « droit à la ville », et que la question écologique, la spéculation immobilière et la défense des communs sont au centre des mobilisations citoyennes. Cherchant à dépasser le clivage ville/région et à surmonter les écueils posés par les stratégies de transformation sociale « par le haut » ou « par le bas », Jonathan Durand Folco donne des pistes pour s’organiser et passer à l’action. Comment penser le front municipal ? Comment articuler les échelles locale, nationale et internationale dans la perspective d’une République sociale vue comme Commune des communes ? À quels problèmes organisationnels faisons-nous face ? Cela passerait-il par la création d’un Réseau d’action municipale ? Et selon quelles valeurs et quels principes organisationnels ? Autant de questions auxquelles tente de répondre l’auteur pour réhabiliter la municipalité comme espace politique et vecteur de transformation sociale.
Théorie de l’urbanisme
livres
Description:
ix, 254 pages ; 24 cm
Ithaca : Cornell University Press, 2014., ©2014
Black Vienna : the radical right in the red city, 1918-1938 / Janek Wasserman.
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ix, 254 pages ; 24 cm
livres
Ithaca : Cornell University Press, 2014., ©2014
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Aaron Swartz était programmeur informatique, essayiste, organisateur politique, et hacker-activiste américain. Adolescent, il était déjà un libre penseur, un programmeur, un écrivain et un militant profondément engagé en faveur de l’accès libre et gratuit à l’information contribuant au bien du public. Élevé dans la banlieue riche de Chicago, il atteint la majorité alors(...)
avril 2017
Celui qui pourrait changer le monde : écrits
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Aaron Swartz était programmeur informatique, essayiste, organisateur politique, et hacker-activiste américain. Adolescent, il était déjà un libre penseur, un programmeur, un écrivain et un militant profondément engagé en faveur de l’accès libre et gratuit à l’information contribuant au bien du public. Élevé dans la banlieue riche de Chicago, il atteint la majorité alors que la bataille relative au téléchargement illégal de musique bat son plein. Il devancera à cette occasion grand nombre des questions encore débattues aujourd’hui. Harcelé par le FBI suite au procès attenté à son égard, Aaron Swartz connaît une fin tragique en mettant fin à ses jours à l’âge de 26 ans alors qu’il faisait face à l’opposition entre son idéal de « free culture » et les lois relatives à la propriété intellectuelle aux États-Unis. Étant donné la terrible brièveté de son audacieuse vie intellectuelle "Celui qui pourrait changer le monde" est une remarquable et substantielle collection de ses écrits (articles, essais, conférences), qui soulignent la pluralité des intérêts du jeune homme, de son amour pour le code, à son idéal d’un monde collaboratif et virtuel. On y découvre un personnage curieux de tout, drôle, brillant, radical et visionnaire, mais aussi plein d’autodérision. Le livre est divisé en six chapitres, suivant ses centres d’intérêts : la culture libre, tout d’abord, les ordinateurs, la politique, les media, les livres et la culture et enfin l’éducation. Ses différents combats (pour la culture libre notamment, qui se politisèrent à la fin de sa vie) sont enracinés dans la croyance qu’accéder à la connaissance et la possibilité de l’utiliser constitue le meilleur moyen d’empowerment et de justice. L’activisme multi-facette de Swartz inclue l’orchestration de pétitions massives en ligne contre les lois relatives au droit d’auteur et la lutte contre le piratage. Swartz a également écrit avec passion sur les livres (Kafka et David Foster font partis de ses favoris), les magazines, les films, la musique et l’éducation.
livres
Le musée du quai Branly
$62.95
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L’ouverture du musée du quai Branly est l’aboutissement d’un rêve déjà ancien : celui de Claude Lévi-Strauss d’abord, d’André Malraux ensuite et enfin celui né de la rencontre entre Jacques Chirac, passionné depuis toujours par les arts du bout du monde, et Jacques Kerchache, auteur du manifeste «Les chefs-d’œuvre du monde entier naissent libres et égaux en droit». De(...)
octobre 2006, Paris
Le musée du quai Branly
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L’ouverture du musée du quai Branly est l’aboutissement d’un rêve déjà ancien : celui de Claude Lévi-Strauss d’abord, d’André Malraux ensuite et enfin celui né de la rencontre entre Jacques Chirac, passionné depuis toujours par les arts du bout du monde, et Jacques Kerchache, auteur du manifeste «Les chefs-d’œuvre du monde entier naissent libres et égaux en droit». De cette ferveur commune pour les arts non occidentaux est née l’idée de créer un lieu qui rende aux cultures minoritaires leur juste place dans les institutions muséales de la France. Dès 1995, le président de la République m’a demandé de conduire un groupe de réflexion sur ce futur musée. Le projet ne s’est pas fait en un jour, il a suscité des débats, traversé des tempêtes, rencontré des détracteurs, nourri des passions. L’accueil enthousiaste que le public réserve au musée du quai Branly depuis son ouverture est bien plus qu’une récompense, c’est la démonstration qu’une telle institution répond à une attente réelle et légitime et que ceux qui l’ont voulue avaient compris cette nécessité culturelle. Le projet architectural du musée du quai Branly est atypique. Il témoigne de la maturité du travail de Jean Nouvel. Répondant à des exigences spécifiques en matière d’image, d’identité, d’accessibilité et d’insertion urbaine, bénéficiant d’un site exceptionnel, à l’ombre de la tour Eiffel, il joue sur l’émotion, le dépaysement, la joie de la découverte. Le bâtiment, par son architecture novatrice, incarne parfaitement les ambitions qui étaient au cœur de ce grand projet : la tolérance, la reconnaissance et le respect des différences. Affirmation du refus d’une conception étriquée des savoirs et d’une hiérarchie des arts établie au détriment des productions artistiques des autres continents, il illustre l’engagement de la France voulu par Jacques Chirac en faveur de la diversité culturelle. C’est au contact des artistes, chercheurs et muséologues étrangers que se tisseront maintenant des liens durables avec la communauté scientifique et culturelle internationale. C’est aussi au contact des peuples autochtones que se forgera une appréhension plus juste de la manière de présenter et de faire vivre leurs patrimoines. Souhaitons que l’échange de ces regards et de ces questionnements nourrisse et enrichisse cette jeune et belle institution. Jacques Friedmann, Président d’honneur
livres
octobre 2006, Paris