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Titre:
Ishimoto : Des lignes et des corps

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Prix:
$89.95
(disponible sur commande)

Résumé:
« Ishimoto. Des lignes et des corps » présente les séries emblématiques de Yasuhiro Ishimoto (1921-2012) qui allient l’approche formelle du New Bauhaus de Chicago à la quintessence de l’esthétique japonaise. Cette monographie permet de redécouvrir l’oeuvre d'un photographe très peu publié de son vivant. La singularité de son regard et son travail sur le motif, allant parfois jusqu’à l’abstraction, ont fait d'Ishimoto une figure incontournable du monde de l’art qui a bouleversé la scène photographique japonaise dans les années 1960. Conçu en étroite collaboration avec le Ishimoto Yasuhiro Photo Center, cet ouvrage accompagne l’exposition éponyme présentée au BAL sous le commissariat de Diane Dufour avec Mei Asakura, directrice des Archives. Largement considéré comme étranger par ses pairs, Ishimoto importe une perspective formaliste sur la scène photographique japonaise de l’époque. Scènes de rues, portraits d’enfants déguisés pour Halloween, panneaux publicitaires, façades d’immeubles de quartiers populaires : ses images témoignent de sa maîtrise du cadrage ainsi que de sa perception sensible des textures et des motifs.

Titre:
Wang Bing : l'oeil qui marche

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Prix:
$85.95
(disponible en magasin)

Résumé:
Ce volume a pour ambition d’e^tre le premier ouvrage de re´fe´rence sur le travail de Wang Bing. Ce livre est le catalogue de l’exposition éponyme qui s’est tenue au BAL à Paris, du 5 mai au 22 août 2021. Pre´sentant 170 se´quences, issues de huit films re´alise´s au tournant du sie`cle (1999-2017), il met en exergue la singularite´ du langage cine´matographique de Bing et l’ampleur colossale et ine´dite de son projet anthropologique a` l’e´chelle d’un pays-continent ayant connu une transformation radicale de sa socie´te´. Au fil des pages se pre´cise l’attente, le doute et la concentration au travers d’un certain nombre de motifs temporels. Loin des grands re´cits magistraux ou des films de de´nonciation, le livre traduit par l’accumulation des images, des de´tails, des gestes la manie`re dont Wang Bing enregistre, lentement, patiemment, la pre´carite´ de ces vies dans l’intimite´ de leur corps-a`-corps quotidien avec la re´alite´.

Titre:
Provoke: between protest and performance. Photography in Japan 1960-1975

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Prix:
$90.00
(disponible sur commande)

Résumé:
The short-lived Japanese magazine Provoke, founded in 1968, is nowadays recognized as a major contribution to postwar photography in Japan, featuring the country’s finest representatives of protest photography, vanguard fine art and critical theory in only three issues overall. The magazine's goal was to mirror the complexities of Japanese society and its art world of the 1960s, a decade shaped by the country’s first large-scale student protests. The movement yielded a wave of new books featuring innovative graphic design combined with photography: serialized imagery, gripping text-image combinations, dynamic cropping and the use of provocatively "poor" materials. The writings and images by Provoke's members—critic Koji Taki, poet Takahiko Okada, photographers Takuma Nakahira, Yakata Takanashi and Daido Moriyama—were suffused with the tactics developed by Japanese protest photographers such as Nobuyoshi Araki, Eikoh Hosoe and Shomei Tomatsu, who pointed at and criticized the mythologies of modern life. Provoke accompanies the first exhibition ever to be held on the magazine and its creators. Illuminating the various uses of photography in Japan at the time, the catalogue focuses on selected projects undertaken between 1960 and 1975 that offer a strongly interpretative account of currents in Japanese art and society at a moment of historical collapse and renewal.

Titre:
Images à charge: la construction de la preuve par l'image

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Prix:
$89.95
(disponible sur commande)

Résumé:
Images à charge, la construction de la preuve par l'image, livre de l'exposition éponyme, présente, à travers dix cas, comment par l'élaboration d'un protocole l'image se construit pour devenir preuve. Des méthodes de prises de vue scientifiques mises au point par Alphonse Bertillon, criminologue travaillant pour la Préfecture de police de Paris à la fin du XIXe siècle, aux premières images aériennes du front réalisées par l'armée durant la Première Guerre mondiale jusqu'aux clichés permettant d'identifier les victimes de la Grande Purge de Staline, la photographie depuis plus de 150 ans sert de preuve, témoigne du crime : elle atteste d'une certaine réalité et tend ainsi à rendre une vérité.