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Titre:
The Darkroom

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Prix:
$24.00
(disponible en magasin)

Résumé:
"The darkroom" contains the script for Marguerite Duras's 1977 radically experimental film "Le camion" ("The Truck"). Between images of a truck in motion, juxtaposed voiceovers, and cutaways to Duras in conversation with Gérard Depardieu, Le camion turns the art of film into a means of enabling the viewer to engage multiple faculties--not only the visual and the aural, but also memory, imagination, and desire. Also included here is a series of short essays in which Duras makes provocative connections between film and textuality, as well as a fascinating dialogue with Michelle Porte. Together amounting to a crucial contribution to the field of film theory, these texts make brilliantly apparent the depth and integrity of Duras's aesthetic, philosophical, and political thinking.

Titre:
Derrida, suppléments

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Prix:
$43.95
(disponible en magasin)

Résumé:
Il ne s’agit pas d’ajouter quelque chose à Derrida. Pas non plus de suppléer à des manques chez lui. Rien du double sens de ce mot dont il a fait une de ses signatures conceptuelles. Ces textes écrits au gré des circonstances – colloques, ouvrages collectifs – et au fil de 25 années ne sont ni des études, ni des commentaires, ni des interprétations de la pensée de Derrida. Ce sont, pour le dire ainsi, des réponses à sa présence.

Titre:
La communauté désavouée

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Prix:
$39.95
(disponible sur commande)

Résumé:
La Communauté inavouable, livre par lequel Maurice Blanchot répondit en 1983 à mon article "La Communauté désoeuvrée", est resté un titre célèbre, un repère souvent évoqué ou invoqué. Mais le contenu du livre n'a pas été scruté avec l'attention qu'il aurait dû susciter. J'ai mis longtemps moi-même à passer outre l'intimidation et à affronter les arcanes d'un texte soigneusement protégé et presque dérobé. Blanchot ne tentait pas seulement de s'y expliquer en renouant les fils de passés plus ou moins éloignés - 1968, 1936 -, mais il s'efforçait de pénétrer le coeur très obscurci de ce qu'on pouvait ou non nommer "communauté", au-delà ou en-deçà de toute institution socio-politique, se voulût-elle "communiste" ou se donnât-elle la référence d'une "Loi" sublime. Il se risquait en fait à esquisser un mythe capable de fonder une communauté sur le désaveu de toute fondation commune. Il s'exposait ainsi à une discussion que je m'efforce d'ouvrir, autour d'une aporie avec laquelle nous ne sommes pas quittes et qui se nomme ici "le coeur ou la loi". (Jean-Luc Nancy)