Mettre en doute les seuils

Tairan An, Pinar Kutluay, Samuel Dubois

Voici le troisième et dernier volet de « Mettre en doute… », une série de lectures sceptiques des intersections élastiques entre le droit et l’environnement bâti, rédigées par les participants au séminaire Outils d’aujourd’hui 2021 Légalités pour vivre et introduites par Shivani Shedde. Tairan An y examine comment les réclamations du 19e siècle et les projets d’amélioration de la côte napolitaine camouflaient des écosystèmes souterrains d’égouts et de déchets, Pinar Kutluay analyse comment la façade négociait avec les principes d’ordre et d’uniformité de la réforme urbaine du baron Haussmann, et Samuel Dubois explore la manière dont les pratiques de hacking permettent aux Inuits de contourner les règlements de zonage municipaux et les approches coloniales du développement territorial.

Mettre en doute la ligne droite

Tairan An

George Wilson Bridges, Strada Chiaja, Naples, Italy, 1846, photographie. 16.3 × 21.7cm. PH1988:0383. CCA

Une scène saisie par le photographe britannique George Wilson Bridges en 1846 fige un moment dans le temps parmi les histoires sociales, architecturales et environnementales densément enchevêtrées du parc Villa Comunale, qui longe la côte dans le quartier de Chiaia, à Naples1. La photographie met en scène un paysage cloisonné dans une zone étroite entre la métropole et la Méditerranée, présentant un ensemble de démarcations linéaires rigoureuses séparant résidences, rues, plantations et mer. Appelé à l’origine « Villa Reale », le parc a été aménagé dans les années 1780 à l’instigation du souverain bourbon comme promenade royale, sous la direction de l’architecte Carlo Vanvitelli. Bâtiments, boulevards, bordurettes, allées, clôtures en fonte et jeunes arbres en bord de route suivent un alignement sans faille, à la manière d’une frontière découpée en bandes d’espace égales.

Le mot « shore » [rivage] en anglais, semblable à « shear » [découper], « share » [partager] ou « sharp » [tranchant] est dérivé d’une racine proto-indo-européenne signifiant couper [« to cut »]; sans doute n’est-ce pas simplement le fruit du hasard, son équivalent italien riva (par exemple, dans riva del mare, ou bord de mer) trouve lui aussi son origine dans la notion de couper et déchirer. Réalité géographique qui marque la division entre les masses terrestres et la mer, le littoral accentue l’impact des interventions matérielles visant à créer, renforcer et définir des distinctions spatiales physiques et symboliques. Des bordures aux clôtures en passant par le trottoir et l’accotement, ces actions architecturales, administratives et botaniques menées au fil du temps ont rendu le rivage normal – au sens proposé par Georges Canguilhem comme supposant l’utilisation d’une équerre – pour affirmer le pouvoir humain sur les choses2. Les divisions territoriales linéaires, issues des régimes scientifiques de gestion des terres influencés par des idéaux post-Lumières comme la rationalité et l’objectivité, sont l’illustration d’un système de contrôle et d’endiguement complexe soigneusement élaboré pour masquer certaines impuretés. Par exemple, à proximité de la ville, qui avait la réputation d’être l’une des plus insalubres d’Europe, la baie de Naples était devenue une soupe toxique créée par une population tributaire d’installations de traitement de l’eau déficientes et de mollusques et crustacés contaminés au choléra3. Bien ordonnées, les parties en surface du littoral de Chiaia camouflaient des contaminations pour l’essentiel invisibles en dessous, qui prospéraient dans un complexe techno-environnemental de passages tortueux et vascularisés empruntés par les animaux, la nourriture, l’eau, les eaux usées, les microbes et les êtres humains.

Une vingtaine d’années après que la photographie ci-dessus ait été prise, ces contaminations et interconnexions sont apparues au grand jour. En 1872, le darwiniste allemand Anton Dohrn créait la station zoologique de Naples dans le parc Villa Comunale sur la côte du quartier de Chiaia. Bien qu’elle ne tarde pas à devenir l’un des instituts les plus prestigieux en matière de recherche biologique en Europe, cette station constituait une anomalie. À la différence des nombreux prétendus centres biologiques de terrain installés à la fin du XIXe siècle dans des régions éloignées pour faciliter l’observation des organismes dans leur environnement naturel, celui de Dohrn, pour des impératifs économiques, a été implanté dans un port maritime pour y servir simultanément d’aquarium public4. La conséquence était que cette station ne rapprochait pas les zoologistes du milieu vivant et « pur » des créatures marines, tel que l’avait voulu Dohrn, les plaçant plutôt dans un contexte de métropole entourée d’eau de mer fortement polluée par le système d’égouts de la ville, à la décrépitude notoire; l’eau était d’une qualité à ce point médiocre qu’il fallait la filtrer totalement avant de pouvoir l’employer dans les bassins du laboratoire5.

La station zoologique était littéralement à la croisée du paysage cloisonné en surface et des voies souterraines tortueuses. En tant qu’aquarium public conçu dans le style néoclassique prisé à l’époque, elle s’harmonisait avec les projets de réhabilitation et de modernisation de la côte du quartier de Chiaia entrepris à la fin du XVIIIe siècle. En tant qu’institut pour la recherche en zoologie, elle soulève quelques suspicions quant à sa propre conformité à ces linéarités spatiales, ayant en même temps impliqué et révélé une écologie hydrosociale perturbatrice de l’ordre architectural et territorial. Comme le démontre le plan du sous-sol, un des collecteurs principaux des égouts municipaux passait directement à travers l’édifice, déversant les eaux usées non seulement de la ville, mais aussi du laboratoire, dans la baie. En d’autres termes, les efforts pour maintenir un milieu inaltéré, « naturel » pour les organismes marins ont enfermé la station dans un montage techno-naturel intégré, bien que non cartographié, au paysage urbain lui-même.


  1. Sur la réhabilitation et la modernisation de la côte du quartier de Chiaia et du parc Villa Comunale, voir Ornella Cirillo, « Il Real Passeggio di Chiaia », dans Carlo Vanvitelli. Architettura e città nella seconda metà del Settecento, Florence, Alinea Editrice, 2008, p. 39–62. 

  2. Georges Canguilhem, Le normal et le pathologique, Paris, Presses universitaires de France (Vendôme, Impr. des P.U.F.), 1966. 

  3. Pour une histoire du système d’égouts à Naples, voir Ettore d’Elia, « Sulle origini storiche e sull’evoluzione della fognatura di Napoli », L’Acqua (2015) (6), p. 19–41. 

  4. Sur l’analyse architecturale de la station zoologique de Naples, voir Riccardo Florio, L’Architettura delle idee. La Stazione Zoologica Anton Dohrn di Napoli, Naples, Artstudiopaparo, 2015. 

  5. Voir Raf De Bont, Stations in the Field: A History of Place-Based Animal Research, 1870–1930, Chicago et Londres, The University of Chicago Press, 2015, p. 59; Charles Atwood Kofoid, The Biological Stations of Europe, Washington, Government Printing Office, 1910, p. 31. 

Mettre en doute l’ordre

Pinar Kutluay

Achille Quinet, Planche de l’album Buildings, parks, and streets of Paris, Versailles, and environs, France, c. 1870, tirage à la gélatine argentique. PH1976:0050:103. CCA

Au XIXe siècle, Paris entreprend un réaménagement urbain historique, fondé sur les principes de l’ordre et la normalisation de l’espace, qui va modifier significativement sa configuration. Le baron Haussmann, haut fonctionnaire aux liens étroits avec l’empereur Napoléon III, supervise et met en œuvre ces interventions. Avec son concours, Napoléon III accélère la transformation urbaine amorcée par l’administration précédente. Pour développer la ville sur les plans à la fois spatial et social et attirer les investisseurs, l’empereur accorde des exonérations fiscales privilégiant les transformations axées sur les notions de circulation, santé et sécurité1. Si les idées conceptuelles d’Haussmann portent principalement sur l’amélioration et la régulation de la trame urbaine parisienne, la refonte qu’il propose a des incidences considérables sur l’architecture par le design des façades. Basé sur une analyse visuelle d’une photographie d’Achille Quinet des années 1870, le texte qui suit explore en quoi les normes urbanistiques d’Haussmann ont transformé ces dernières en un « seuil d’ordre » qui met en doute l’établissement de standards architecturaux uniformes.

Napoléon III entreprend des projets de rénovation urbaine dès les débuts de sa presidence en 1848. Il remplace le préfet de la Seine Jean-Jacques Berger, qui « s’opposait par principe à l’idée de contracter des emprunts pour élargir le programme de réhabilitation » voulue par Haussmann2. À cette période, le tissu urbain parisien est constitué d’une masse hétérogène de maisons sans lien entre elles, qui n’ont aucune uniformité stylistique perceptible. Rues étroites et surpeuplement aggravent les conditions d’hygiène déplorables et un contexte spatial propice aux activités violentes et néfastes3. Outre l’amélioration des composantes publiques de l’aménagement et de la santé, Napoléon III charge Haussmann d’élaborer un projet de réforme urbaine à des fins militaires, en grande partie pour prévenir les émeutes par l’élargissement des rues et l’organisation du centre de la ville autour de grands boulevards s’entrecroisant4.

En plus de ses visées urbanistiques, le plan d’Haussmann va influencer la conception architecturale, en particulier celle des façades. Avec l’haussmannisation, les bâtiments sont construits selon des normes de design strictes et simples donnant priorité à la cohérence stylistique le long des grands boulevards. Comme on le voit dans la photographie de Quinet, une fois le projet d’Haussmann réalisé, les fenêtres de deux immeubles adjacents dans Paris ont des dimensions quasi identiques. Les façades diffèrent quelque peu dans leur conception, mais leur masse et leur composition sont semblables dans leurs proportions, conférant au paysage de la rue une allure d’uniformité et d’ordre. À cet égard, leur apparence est une illustration des principes du réaménagement urbain napoléonien. Haussmann emploie le terme « régularisation » pour décrire et justifier sa proposition pour la transformation de Paris. Son projet d’urbanisme peut être compris comme une « forme de planification critique dont l’objectif explicite est de régulariser la ville désordonnée, d’exposer son ordre nouveau au moyen d’un aménagement pur et schématique qui la débarrassera de sa crasse, des sédiments du passé et des dysfonctionnements actuels »5. Sous sa direction, la ville va vivre de nombreux bouleversements quant à sa trame prémoderne. Par exemple, les quartiers ouvriers sont ciblés en tant que zones prédisposées à la rébellion et la violence; les maisons y sont ainsi démolies, et leurs habitants envoyés en périphérie dans l’attente, leur dit-on, que les nouveaux bâtiments soient érigés. Cependant, à leur retour, ils se heurtent malheureusement au problème de l’augmentation des loyers et se retrouvent exclus économiquement de leur ancien milieu de vie6.

La façade est l’élément architectural qui relie le plus directement les bâtiments à leurs environnements urbains, à la manière d’un visage expressif tourné vers l’extérieur. Dans le cas du Paris du XIXe siècle, elle devient inévitablement partie intégrante de la vie de la cité et est un témoignage de l’application des règles haussmanniennes d’urbanisme. Véritable seuil d’ordre séparant les sphères publique et domestique, la façade et son concept sont également révélateurs de préoccupations sociales plus larges. Il est en effet moins coûteux en cette fin de XIXe siècle de mettre en place de telles structures standardisées, qui vont profiter à un grand nombre de gens de la classe moyenne alors en quête de logement abordable. Néanmoins, en donnant à la surface du bâtiment une visibilité aux règles haussmanniennes d’ordre et d’uniformité, la façade occulte aussi les politiques d’éviction des classes laborieuses et d’effacement du passé.


  1. Barry Bergdoll, European Architecture 1750–1890, Oxford, Oxford University Press, 2000, p. 241. 

  2. Thomas Hall, Planning Europe’s Capital Cities, Aspects of Nineteenth-Century Urban Development, Londres, E&FN Spon, 1999, p. 65. 

  3. Hall, Planning Europe’s Capital Cities, p. 81. 

  4. Leonardo Benevolo, Histoire de l’architecture moderne. 1, Paris, Dunod, 1978.  

  5. Françoise Choay, The Modern City: Planning in the 19th Century, New York, George Braziller, 1969, p. 15.  

  6. Michael Adcock, « Remaking Urban Space », University of Melbourne Library Journal, vol. 2, no 2 (1996), p. 25–35. 

Mettre en doute les règlements de zonage

Samuel Dubois

Couverture Blueprint for a Hack: Leveraging Informal Building Practices, Susane Havelka, Vikram Bhatt et Dave Harlander, New York, Actar Publishers, 2020. © Minimum Cost Housing Group

Publié en 2019 avec le soutien du CCA, le livre intitulé (Blueprint for a Hack: Leveraging Informal Building Practices documente le « Hackathon de Kuujjuaq » de 2017. Cet événement original a rassemblé des membres de la communauté inuite de Kuujjuaq, une municipalité située dans la région du Nord-du-Québec, ainsi que des étudiants et professionels en aménagement du sud du Québec autour d’un objectif commun : réimaginer les espaces publics sous-utilisés de Kuujjuaq grâce à la reconversion créative de matériaux se trouvant à la décharge municipale. Au cœur du Hackathon de Kuujjuaq était la notion de hacking, qui implique la revalorisation de matériaux usagés et d’autres objects obsolètes via des méthodes d’autoconstruction. Parties intégrantes des pratiques informelles traditionellement associées aux communautés inuites du Canada, les interventions de type hacking sont souvent vues comme une réponse à l’inadéquation institutionnalisée de l’architecture d’après-guerre dans le Nord canadien.

Un des buts poursuivis par Blueprint for a Hack est de mettre en relief les éléments névralgiques d’une méthode de hacking efficace et que celle-ci puisse inspirer des démarches futures en matière d’aménagement1. Pourtant, dans la plupart des municipalités du Nord canadien, les méthodologies de hacking et les réalités juridiques sont foncièrement irréconciliables en raison des règlements de zonage, qui permettent notamment aux autorités municipales de contrôler et réglementer l’utilisation du territoire en l’organisant en « zones ». Les auteurs de Blueprint for a Hack abordent d’ailleurs brièvement cette problématique dans leur introduction en expliquant que, pour les Inuits du Nunavik qui étaient autrefois nomades, le concept de délimitation, soit territoriale, administrative ou juridique, est une vague curiosité. De plus, le système municipal les oblige à circonscrire leur territoire via une logique de division spatiale qui leur est totalement étrangère2. Autrement dit, les règlements de zonage entrent en contradiction profonde avec la vision du monde des populations inuites, selon laquelle le territoire, la nature et ses ressources sont sacrés et doivent être révérés. Ainsi, le contrôle exercé sur les communautés inuites dans le Nord canadien par les règlements de zonage municipaux est conceptuellement analogue à celui imposé aux autres Premières Nations par le système des réserves au Canada. Dans un cas comme dans l’autre, cette forme de contrôle par le territoire est le résultat de la colonisation du territoire.

S’inspirant des théories de la professeure et chercheuse canadienne Shiri Pasternak qui voit dans la propriété foncière une forme de « technique juridictionnelle », ce texte suggère une compréhension plus large de la façon dont les systèmes municipaux au Canada entravent généralement les initiatives inuites utilisant des méthodes de type hacking3. S’il est essentiel de souligner la pertinence de cette méthodologie dans le succès du Hackathon de Kuujjuaq en 2017, il faut également mettre en doute les impératifs juridiques des règlements de zonage4. Sans l’appui de la Ville de Kuujjuaq et la visibilité institutionnelle du Hackathon, on peut se demander s’il serait possible (ou non) pour des individus inuits de mener à bien des démarches de construction informelle—hacking—à proximité de leur lieu de résidence dans les régions nordiques5.


À Kuujjuaq, par exemple, les règlements municipaux en matière de zonage permettent la construction de bâtiments ou structures secondaires dans n’importe quelle zone, sous certaines conditions (dimensions, retrait par rapport à la rue, etc.)6. Par ailleurs, d’autres villages dans l’Arctique canadien, comme le hameau de Qikiqtarjuaq au Nunavut, autorisent aussi les bâtiments accessoires ou structures secondaires dans toutes les zones de son territoire, mais avec des règlements plus restrictifs. En effet, ces derniers prévoient que les résidents de Qikiqtarjuaq ne peuvent garder tout objet ou bien mobilier qui, de l’avis de l’agent de développement, est inesthétique sur un terrain situé en zone résidentielle7. Ici, la nature subjective de ce qui est considéré « inesthétique » ou pas reflète la forte élasticité des lois municipales quant à l’évaluation des constructions qui sont le résultat d’interventions de type hacking. Que ce soit à Kuujjuaq, Qikiqtarjuaq ou d’autres municipalités canadiennes, les réglements de zonage fonctionnent intrinsèquement sur le même modèle. Ces derniers sont effectivement fondés sur des techniques juridictionnelles, pour employer la terminologie de Pasternak, qui découlent de principes coloniaux en lien avec le contrôle des terres, où tout développement est soumis à des restrictions qui envisagent le territoire comme propriété.

Pour comprendre comment les règlements de zonage freinent la mise en œuvre des pratiques de construction informelles et, plus largement, des ontologies inuites relatives à la terre, il faut remettre en question les prétentions juridiques qui définissent comment, par qui et sous quelles conditions le hacking peut être pratiqué dans le Nord canadien. Toutefois, il est tout aussi essentiel d’analyser, comprendre et documenter les effets historiquement pervers des règlements de zonage sur l’organisation politique inuite. Cela permettrait, avec espoir, de dégager des pistes de solution plus globales en matière de planification territoriale et de conception architecturale dans les régions nordiques du Canada.


  1. Susane Havelka, Vikram Bhatt et Dave Harlander, *Blueprint for a Hack: Leveraging Informal Building Practices(, New York, Actar Publishers, 2020, p. 19. 

  2. Havelka, Bhatt et Harlander, Blueprint for a Hack, p. 17. 

  3. Shiri Pasternak, « Property as a Technique of Jurisdiction: Traplines and Tenure », dans Maja Hojer Bruun, Patrick J.L. Cockburn, Bjarke Skaerlund Risager et Mikkel Thorup (dir.), Contested Property Claims: What Disagreement Tells Us about Ownership, Milton Park, Routledge, 2017, p. 166–184. 

  4. Par ailleurs, les trois objectifs principaux du projet du Hackathon étaient l’amélioration du domaine public, la réduction des déchets mis en décharge et la création d’occasions d’échanges culturels.  

  5. Le Hackathon de Kuujjuaq a reçu le soutien du CCA, du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH) et de l’École d’architecture Peter Guo-hua Fu de l’Université McGill. 

  6. Village nordique de Kuujjuaq, Règlement de zonage de Kuujjuaq, conseil du village nordique de Kuujjuaq. Règlement no 2017-02, Kuujjuaq QC, village nordique de Kuujjuaq, 11 juin 2017. 

  7. Plus précisément, on emploie le mot « unsightly » dans la version anglaise des règlements de zonage. Municipalité de Qikiqtarjuaq, Règlement de zonage de Qikiqtarjuaq, conseil du hameau de Qikiqtarjuaq. Règlement 244, Qikiqtarjuaq NT, Municipalité de Qikiqtarjuaq, 26 mars 2015. 

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